RAvel L156 03 Virelles - Mariembourg

le projet de Ravel reliant Chimay et Mariembourg

   Session : 2010-2011
   Année : 2011
   N° : 467 (2010-2011) 1

Question écrite du 19/04/2011

   de FASSIAUX-LOOTEN Françoise
   à LUTGEN Benoît, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine


En novembre dernier, en réponse à une question précédente, Monsieur le Ministre m'indiquait que : « Le projet de liaison RAVeL entre Mariembourg et Chimay est effectivement envisagé, notamment dans le cadre de la jonction des deux RAVeLs qui y aboutissent. L'ancienne ligne 156 permettait également de rejoindre la France via Momignies. Cependant, les deux filiales de l'ex-SNCB que sont Infrabel et B-Holding sont toujours propriétaires de l'assiette de la voie et doivent encore procéder à diverses opérations avant que des travaux puissent être envisagés. »

Quel est le niveau de priorité de cette réalisation ?

Quelles sont les démarches qui ont été entreprises par les services de Monsieur le Ministre afin de mener à bien ce projet ?

Quelles sont les opérations que doivent effectuer les propriétaires de la ligne pour que les travaux puissent être envisagés ?

Un agenda de réalisation et une évaluation financière de ce projet existent-ils déjà?
Réponse du 05/05/2011

   de LUTGEN Benoît


Selon les informations transmises par mes services, Infrabel va poursuivre comme prévu, et à partir du mois de mai, le déferrage sur la section Mariembourg-Macon. Pendant ce temps, la section Macon-Momignies (frontière française) sera encore utilisée durant quelques mois pour le transport de matériaux pierreux.

La SNCB-Holding devrait pour sa part procéder prochainement à la remise de la ligne 156 à la Wallonie. Une réunion est d'ailleurs prévue le 13 mai à ce sujet.

Pour le reste, toutes les démarches préliminaires ont été entreprises. Il s'agit essentiellement de la réalisation d'une étude d'incidence sur les sites Natura 2000 et d'une étude d'impact sur les espèces protégées concernées par l'aménagement en RAVeL du tronçon de la ligne 156 entre Momignies et Chimay.

Pour ce qui concerne la section Chimay-Macon, les études sont terminées et le permis d'urbanisme va être sollicité prochainement.

L'adjudication des travaux aura normalement lieu dans la foulée.

La section Mariembourg-Chimay sera réalisée par la suite mais elle sera précédée de l'entretien des ouvrages d'art, et notamment du pont de Virelles qui nécessite des travaux importants.

CHIMAY - Le sel épargné cet hiver permettra de réaliser les chaînons manquants sur le RAVeL. Chez nous, cela pourrait activer le tronçon Chimay-Mariembourg.

Nous l’évoquions la semaine dernière, le ministre Di Antonio a annoncé son intention «si l’hiver clément que nous connaissons actuellement se prolonge» de réaffecter sur le RAVeL une partie des budgets non consommés en service d’hiver. Car un quart seulement de ce budget a été engagé. La météo peut certes encore révéler quelques mauvaises surprises. N’empêche, dans la Botte du Hainaut, on se prend à espérer que le ciel reste calme et que le ministre wallon concrétise rapidement ses propos en livrant son programme budgétaire.

Le SPW Chimay est en effet dans les starting-blocks. Lors de l’inauguration du tronçon Momignies-Chimay du RAVeL 156, le 29 novembre 2013, le ministre Di Antonio avait réaffirmé sa volonté de prolonger ce RAVeL d’une troisième section de 15 kilomètres, reliant Chimay à Mariembourg. Il avait ainsi annoncé que la réalisation du premier kilomètre, dit urbain, dans le centre de Chimay, commencerait au début de l’année 2014. «Mais cette portion se révèle plus onéreuse qu’on ne pensait», explique Louis Lion. Pour traverser la ville, pas de souci, mais le passage sur le pont du collège et la réfection de sa passerelle font grimper le coût de ce kilomètre à près de 400 000€. « Dès qu’on aura le feu vert pour le financement, l’adjudication peut être lancée, l’entreprise est prête». Avant les élections? « Il le faudrait, oui, espère le responsable du district chimacien, afin qu’on puisse démarrer les travaux directement après les congés ».

La suite du chantier, entre le croisement avec la N939 vers Virelles et le Bois de Blaimont jusqu’à la frontière du Namurois, rue de la Galoperie à Aublain, risque elle aussi de peser sur le budget RAVeL. Le SPW Chimay en finalise actuellement l’étude. «On pourrait arriver à 800 000€ » estime Louis Lion. Une fameuse somme, qui s’explique par la présence sur le trajet d’un ouvrage d’art remarquable, mais qui nécessite une sérieuse consolidation pour permettre le passage sécurisé des usagers de la voie lente.

Au milieu du Bois de Blaimont, le Grand Pont de Virelles avec ses huit arches surplombant l’Eau Blanche figure en effet parmi les édifices les plus imposants de la région chimacienne. «Il nécessite des travaux conséquents, qu’on ne saura entreprendre qu’entre avril et novembre, en raison de sa localisation et de la configuration du terrain sur lequel il repose: il faut placer des échafaudages imposants et surtout pouvoir accéder avec le matériel nécessaire jusque-là» poursuit Louis Lion. Là aussi, le SPW Chimay attend avec impatience que le ministère définisse l’engagement des fonds pour lancer, en 2014 encore espère-t-il, la procédure qui permettra de réaliser les 5 km restant jusqu’à la frontière namuroise.

MARIEMBOURG - Le Grand Pont de Virelles et ses 8 arches imposantes n’est pas le seul souci affectant la finalisation du tronçon manquant du RAVeL Chimay-Mariembourg. D’Aublain à Mariembourg, le projet est du ressort du district sud-namurois du SPW. Les 9 km concernés ont été déferrés, comme en Hainaut. Le tracé à travers les campagnes d’Aublain et Boussu-en-Fagne jusqu’aux portes du zoning de Mariembourg est acquis.

Mais arrivé là, deux questions nécessitent encore quelques discussions. D’une part, il y a cette emprise de la ligne 156 sur les terrains du zoning du BEP, un sujet à clarifier avant de lancer les procédures, notamment pour l’obtention du permis. D’autre part, et cela semble un casse-tête plus important, le RAVeL doit traverser la Nationale 5 pour faire la jonction avec le départ, à la gare, du RAVeL Mariembourg-Hastière. L’ancienne ligne croisait les voies, une solution impensable à l’heure où la N5 est quasi devenue une autoroute. Entre passerelle et déviation de l’ancienne ligne, le débat n’est toujours pas tranché. Mais il alourdira sans doute la facture de ce dernier tronçon. N.B.

En 2015 aussi, le SPW devra s’attaquer au gros morceau que constitue le tronçon entre le chemin des Maures et Aublain, à hauteur de la Galoperie. Le viaduc «Grand Pont de Virelles», avec ses 8 arches, a besoin d’une sérieuse consolidation pour permettre le passage des usagers en toute sécurité, ce qui engloutira une bonne partie des 800 000€ prévus pour ce dernier tronçon en terre hennuyère.

développer le réseau RAVeL par l’aménagement des 300 km de chaînons prioritaires manquants en Wallonie. L’objectif est d’atteindre 1.700 km de RAVeL en 2019 ;  

Les 300 km de chainons prioritaires manquants en Wallonie sont composés de :

Chaînons manquants permettant de développer des itinéraires cyclables de longue distance :

Ligne 156 – Aménagement du tronçon manquant entre Chimay et Mariembourg (bouclage de l’Entre-Sambre et Meuse).

Le ministre Prévot l’a annoncé: la Wallonie débloque les moyens pour compléter le RAVeL… dont celui de Chimay à Mariembourg.
La semaine dernière, le ministre Prévot a offert au RAVeL, pour son vingtième anniversaire, une belle enveloppe permettant de compléter des chaînons manquants dans le réseau des voies lentes.

Parmi la série de projets qui seront soutenus, nous l’avions épinglé, figure le tronçon entre Chimay et Mariembourg.

On sait que les travaux ont déjà débuté pour l’aménagement du tracé entre Chimay et Virelles. Mais le reste n’était encore qu’à l’état d’ébauche, dans les cartons wallons.

Cette fois, les crédits qui sont alloués pour la concrétisation du projet offrent la possibilité de voir plus loin.

«C’est d’abord la partie située entre la gare de Mariembourg et le zoning de Mariembourg qui est envisagée. Elle est estimée à un million d’euros, pour 3,5 kilomètres, explique le ministre. Cette enveloppe comporte la réalisation du passage du RAVeL sous la future autoroute E420 (actuelle N5), en souterrain. Au niveau du timing, on peut envisager cela pour 2017…»

Le chantier se poursuivra par la jonction entre Mariembourg et le trajet qui sera déjà construit jusque Virelles. «Là, l’estimation est de 1,8 million, pour 11 kilomètres, poursuit Maxime Prévot. Et nous pouvons estimer que l’aménagement sera terminé en 2018.»

Il restait une question qui paraissait épineuse: celle de la traversée du zoning par les cyclistes du RAVeL. Le parc industriel doit en effet être étendu de l’autre côté de l’ancienne ligne de chemin de fer et la perspective de voir des familles se promener entre les engins de chantier, les camions et les Clark ne réjouit pas nécessairement les acteurs économiques du lieu.

Pourtant, c’est bien à travers le zoning que les deux roues passeront: «Le RAVeL traversera bien le parc industriel. Il s’agit réellement d’une liaison de l’emploi. Autrement dit, d’un RAVeL qui va permettre d’accéder à un pôle pourvoyeur d’emplois. Ses usagers pourront dès lors l’utiliser pour se rendre à leur travail en toute sécurité et en toute convivialité.»

Description / objet du marché

2. Objet
Le présent marché est relatif à première phase de la rénovation du Viaduc de Virelles, marquant le passage de la future ligne RAVeL L156 au dessus de la vallée de l'Eau Blanche. Cette première phase consiste en la réalisation de la rénovation de la face supérieure du viaduc.
3. Description des travaux
Les travaux prévus dans le cadre de ce marché comprennent notamment :
* L'abattage d'arbres et leur essouchement ;
* Le débroussaillage de l'assiette de la ligne, la taille verticale de la végétation, le terrassement de fossés et le reprofilage du ballast existant, afin de réaliser les chemins d'accès au chantier ;
* Fourniture et pose d'épingles métalliques scellées au niveau des bandeaux en pierre de taille des voûtes (tiges filetées M20 scellées et profilés UPN 200 galvanisés et boulonnés), ainsi que mise en Oeuvre des moyens d'accès appropriés à cette tâche ;
* La réalisation de déblais sur le tablier du viaduc en vue d'en enlever le ballast et les terres présents en surépaisseur et ce, jusqu'à un niveau inférieur à celui des tablettes sous garde-corps ;
* Terrassements pour ouvrage d'art, fourniture et pose de béton maigre de fondation et d'éléments en L préfabriqués en béton aux extrémités des culées du viaduc ;
* Réalisation d'un complexe d'étanchéité sur les culées de l'ouvrage, sis sur 10 cm de sable stabilisé. L'étanchéité est composée de deux couches de géotextile de part et d'autre d'une membrane EPDM (ép. plus grand 1 mm). Cette dernière est ensuite recouverte de sable de drainage et d'une fondation en empierrement ciment. Cette étanchéité fera l'objet d'un recouvrement sur sa partie amont par les futures dalles de béton à réaliser et sa partie basse aboutira à une tranchée drainante ;
* Terrassement et réalisation de tranchées drainantes perpendiculairement à la ligne, à chaque extrémité du viaduc (Tuyau en PVC annelé de 80 mm de diamètre, matériaux drainants en pierrailles 2/7 et géotextile non-tissé) ;
* Réalisation de têtes d'aqueduc et fourniture et pose de caniveaux de talus, ainsi que de leur fondation en béton maigre, aux quatre coins de l'ouvrage ;
* Terrassement à proximité de la zone de tympan effondrée du viaduc, réparation de cette zone au moyen d'une maçonnerie, au mortier bâtard, de moellons dont la fourniture sera semblable aux autres moellons existants sur l'ouvrage et remblai de l'intérieur du viaduc au sable stabilisé. Mise en Oeuvre des moyens d'accès appropriés à cette tâche ;
* Mise en place d'un plancher provisoire en encorbellement des rives de l'ouvrage et de garde-corps provisoires, en vue de pouvoir procéder au bétonnage ultérieur du tablier ;
* Démolition des garde-corps existants avec leurs ancrages ;
* Démolition des tablettes sous garde-corps en pierre de taille et en béton coulé en place ;
* Etablissement d'un levé dans les trois dimensions du viaduc et réalisation de tous les plans de détails et d'exécution nécessaires en vue de la réalisation des travaux liés au cintrage des armatures, à leur pose, au coffrage et au bétonnage des dalles et des poutres de rives projetées ;
* Terrassement dans le remblai du viaduc, sur toute sa longueur, et fourniture et pose de deux gaines en polyéthylène de diamètre 110 mm ;
* Fourniture et pose de sable stabilisé en vue d'égaliser la surface du corps de remblai restant du viaduc ;
* Fourniture et pose de dalles indépendantes de béton C30/37 BA EE3 WAI (0,5), armé et coulé en place, en épaisseur variable, en vue de constituer le nouveau tablier de l'ouvrage ainsi que ses poutres de rive ;
* Scellement au bitume au niveau des joints entre les dalles indépendantes ;
* Démolitions des murets en moellon situés sur les culées du viaduc et construction, à leurs emplacements, de tablettes sous garde-corps en béton, armé, scellé dans les maçonneries de moellons sous-jacentes et coulé en place, de ..

Fin juillet, le ministre Prévot concrétise les promesses faites en mars à Viroinval : la Wallonie débloque les moyens pour compléter le RAVeL, dont celui de Chimay à Mariembourg. Cette liaison pourrait voir le jour en 2018.

Sous la N5 à Mariembourg

 Entre la gare et le zoning de Mariembourg, 1 million d’€ est nécessaire pour aménager 3,5 km. Cette enveloppe comporte la réalisation du passage du RAVeL sous la future autoroute E420 (N5), en souterrain. « Au niveau du timing, on peut envisager cela pour 2017 » avance le ministre. Le chantier se poursuivra par la jonction entre Mariembourg et le trajet qui sera déjà construit jusqu’à Virelles. Là, on parle de 1,8 million d’€, pour 11 km à aménager d’ici 2018. Reste la traversée du zoning : pas très esthétique pour les cyclistes amenés à circuler. « Mais il s’agit réellement d’une liaison de l’emploi, argumente le ministre. Autrement dit, d’un RAVeL qui va permettre d’accéder à un pôle pourvoyeur d’emplois. Ses usagers pourront dès lors l’utiliser pour se rendre à leur travail en toute sécurité et en toute convivialité. »

Vers Mariembourg
Un second chantier est actuellement en cours au niveau du Viaduc de Virelles. Les travaux ont débuté en mars 2016 et portent sur la réfection de la partie supérieure de l'ouvrage : réalisation d'un tablier en béton et épinglages de maçonne-ries pour sécuriser la traversée de l'ouvrage. D'un montant de 450 000 € TVAC, ce chantier comprend la mise en œuvre de 27o m de béton, le remplacement de 28o mètres courants de garde-corps et la pose, par des ouvriers cordistes, de 8o épingles scellées en vue de stabiliser les jonctions voûtes-tympans du viaduc. De manière globale, ce sont 3 600 000 € qui ont été débloqués par le ministre Maxime Prévot, dans le cadre du plan RAVeL, pour relier, d'ici 2019, les 14,5 km qui séparent Virelles et Mariembourg.

Après plus d’un an de travaux, la réfection du viaduc de Virelles (Chimay), sur le tracé du RAVeL 156,se terminait hier. Le «grand pont» pourra bientôt accueillir ses premiers promeneurs

Le maillage des différents tronçons du RAVeL avance bien par chez nous… Dans la région de Chimay, le RAVeL156 doit relier Mariembourg à Chimay.

Comme tous les RAVeL, il reposera sur l’assiette de l’ancienne ligne de chemin de fer. L’aménagement de l’assiette, c’est relativement simple, mais il arrive souvent que des ponts nécessitent certains aménagements, afin de sécuriser le passage des usagers de cette voie lente.

Entre Virelles et Lompret, c’est le viaduc qui a nécessité un peu plus de travail. Long d’environ 200 mètres pour une hauteur culminant à 26 mètres du sol, le viaduc était recouvert d’une épaisse couche de remblai et de végétation; les intempéries successives avaient entraîné des infiltrations d’eau et les briques latérales commençaient à se desceller.

Deux phases de travaux ont déjà été nécessaires. Et cet été, une dernière chape d’étanchéité a été posée avant l’arrivée de l’asphalte… et les premiers randonneurs, joggeurs et autres promeneurs se sont déjà montrés impatients de poursuivre leur balade.

Il reste cependant encore à assurer l’accès au viaduc, en allant vers Virelles et vers Vaulx; ces deux tronçons doivent encore faire l’objet d’une adjudication. Quant à la partie de l’ancienne voie de chemin de fer allant de la rue des Quartiers à la Galoperie à Aublain pour assurer la jonction avec Mariembourg, le marché a déjà été attribué; la première phase des travaux, le débroussaillage, débutera cet hiver. L’aménagement de l’assiette de chemin de fer démarrera donc l’année prochaine.

Petit pas par petit pas, le maillage des tronçons s’organise entre Chimay et la gare de Mariembourg. Il représente 14 km dans la campagne et les bois, augurant de superbes balades pour les amateurs de la voie lente.

L’étude pour le prolongement jusqu’à la Nationale 5 est en cours… Fin des travaux et inauguration dans le courant 2019. Encore un peu de patience et vous pourrez bientôt rejoindre le train à vélo, sur les vestiges des anciens rails!

velo-ravel.net a écrit:https://www.vlan.be/info-virelles/b9713266651z-1-article_vlan-un-troncon-supplementairepour-le-ravel

 Quant à la partie de l’ancienne voie de chemin de fer allant de la rue des Quartiers à la Galoperie à Aublain pour assurer la jonction avec Mariembourg, le marché a déjà été attribué; la première phase des travaux, le débroussaillage, débutera cet hiver. L’aménagement de l’assiette de chemin de fer démarrera donc l’année prochaine.

Une aire de pique-nique 100 % accessible sur le RAVeL de la Ligne 156
11 août 2021

Dans le cadre des travaux d'aménagement du RAVeL de la Ligne 156 entre Aublain et Mariembourg, composante de l'itinéraire cyclable régional W8, les agents de la Direction des Routes de Namur du SPW Mobilité & Infrastructures ont été particulièrement attentfs à rendre le RAVeL accessible aux personnes à mobilité réduite. Et cela ne s'est pas limité à l'accès à la piste en asphalte, mais également à l'aire de repos aménagée à Boussu-en-Fagne sur le territoire de la Ville de Couvin : une place de parking réservée aux PMR, une table de pique-nique sous abri accessible et cheminement en dur et adapté entre le parking, l'aire de pique-nique et le RAVeL.

Bravo pour cet aménagement !