RAVeL L045 RAVeL 45 Trois-Ponts - Waimes

Stavelot: des stalactites dans le tunnel du Ravel!
Un tableau impressionnant (Crédit: Thomas B.)

Drôle de surprise pour le collège de Stavelot. Cet hiver, les élus se sont rendu compte que le tunnel du parcours Ravel renfermait d’énormes stalactites. Craignant que celles-ci ne se détachent et tombent sur les promeneurs, ils ont décidé de fermer le tunnel.

Rédaction en ligne

Publié le Jeudi 1 Mars 2012 à 18h48

Ils ont aussi pris la décision d’écrire à André Schmitz, le responsable du SPW mobilité à Stavelot.

Réponse du SPW: une inspection approfondie du tunnel a été réalisée par la Direction des ouvrages d’art de Liège. Le tunnel n’a aucun problème de stabilité malgré les infiltrations d’eau et le manque apparent d’étanchéité de la voûte. Cette inspection approfondie se répétera chaque année. Lors des périodes de neige suivie de gel, il faudra procéder à la fermeture du tunnel.

Particulier ce tunnel!

Le plan d’investissements 2013-2025 du groupe SNCB soumis à l’approbation du ministre fédéral Jean-Pascal Labille et du gouvernement wallon liste au total une trentaine de projets susceptibles de booster le rail belge. Parmi eux, trois suggestions concernent la région verviétoise : créer un passage sous voies à Trois-Ponts, remettre en service la ligne entre Eupen et l’Allemagne et, le plus surprenant, rouvrir la ligne entre Trois-Ponts et Malmedy.

Transformée en RAVeL depuis 2010, la ligne 45 permettaient aux voyageurs de rallier Trois-Ponts à Malmedy jusqu’à la fin des années 50.

Alors là, c’est une surprise! On ne s’attendait pas à voir surgir l’idée de rétablir cette voie de chemin de fer abandonnée depuis belle lurette et désormais davantage prisée par les amateurs de vélo qui y empruntent le RAVeL inauguré en 2010. Mais des trains pourraient réapparaître sur la ligne 45 qui permettait, jusqu’à la fin des années 50, aux voyageurs de relier Trois-Ponts à Waimes sur 22 km. Le passage des trains de marchandises et de la Vennbahn (le train des fagnes) ayant quant à lui cessé au début des années 2000. L’idée actuelle serait de transporter des passagers entre Trois-Ponts et Malmedy, avec la possibilité de profiter de correspondances avec la ligne 42 à Trois-Ponts. Coût estimé : 20 millions.

Davantage de développements dans La Meuse Verviers de ce jeudi

velo-ravel.net a écrit:http://eric-muller.skynetblogs.be/post/7994968/tout-les-photo-du-ravel-son-prise-par-andrE-f

«Il y aurait des petits stands disposés le long du RAVeL avec des panneaux décrivant et illustrant des exercices de renforts musculaires, d’assouplissements, d’étirements… Mais rien de difficile.» Ce parcours partirait du site de l’ancienne gare, traverserait Masta pour aller vers le Camping de l’Eau Rouge puis remonterait sur le pré-RAVeL avant de retourner sur Stavelot.

eeuwige reiziger a écrit:Comme c'est beau!

Comme à Stavelot et à Waimes, le RAVeL est une des préoccupations de la commune de Trois-Ponts. Elle souhaiterait également qu’il rejoigne le centre.

«Pour l’instant, le RAVeL s’arrête à l’ancien terrain de foot, entre deux ponts, détaille Claude Legrand, échevin des Travaux. Mais quand on veut sortir de là, entre les deux viaducs, c’est dangereux et pas du tout sécurisé. Nous souhaiterions que le RAVeL vienne plus dans le centre, avec une passerelle ou un autre accès pour éviter de passer en dessous des viaducs.» L’échevin envisage également de relier la piste cyclable de Trois-Ponts à Basse-Bodeux.

STAVELOT - Des panneaux didactiques réaliséspar des enfants seront placés au borddu RAVeL pour raconter l’histoire de Stavelot.

Cela fait un petit temps que l’Office du Tourisme pensait placer tout au long du parcours du RAVeL et du pré-RAVeL des panneaux didactiques. «Ces panneaux devraient parler de l’histoire du patrimoine de toute la commune», précise Patrice Lefebvre, vice-président de l’Office du Tourisme de Stavelot.

Mais à cette initiative de l’Office du Tourisme s’est rapidement greffée la voix du Conseil Communal des Enfants. «Ces enfants ont souhaité participer à ce projet donc nous leur avons confié avec beaucoup de plaisir.» Pour l’instant, le CCE en est à la phase de rédaction des panneaux.

«Nous jetterons un coup d’œil sur ce que les enfants auront écrit puis nous passerons à la phase de réalisation.» Au total, ce sont 12 panneaux illustrés (6 sur le RAVeL 45 qui va de Trois-Ponts à Malmedy et 6 sur le pré-RAVeL qui débute à la Haute-Levée et se termine à Hockay) qui devraient prendre place le long du RAVeL. Rédigés en français, ils seront aussi traduits en néerlandais et en allemand par les employés de l’Office du Tourisme. «Le RAVeL vient de l’Allemagne et il touche aussi le Grand-Duché du Luxembourg. Du côté des touristes, la plupart sont Hollandais.»

Le but de cette redynamisation du RAVeL, c’est d’attirer l’attention des promeneurs sur la richesse de l’histoire et du patrimoine stavelotains. «Nous voulons inviter les touristes à quitter leur promenade en vélo et à descendre dans notre ville et nos villages. Ce sont des panneaux à la fois informatifs et incitatifs.»

L’Abbaye, le circuit, l’ancienne gare…

«J’attends de voir ce que les jeunes ont écrit, mais quelques aspects historiques sont incontournables comme l’Abbaye, l’histoire de l’invasion de 1914 à Francorchamps, la porte des Fagnes à Hockai qui est un biotope exceptionnel…» Le circuit de Francorchamps, le site de l’ancienne gare, le folklore… La commune de Stavelot ne manque pas de belles histoires à raconter aux touristes qui traversent plusieurs sites intéressants en empruntant le RAVeL.

Le chemin de fer, c’est aussi un aspect qu’il est nécessaire d’évoquer, assure Patrice Lefebvre. «Le passé ferroviaire a joué un rôle important dans le développement de la région des Hautes Ardennes. Et puis, le tracé du RAVeL utilise l’ancienne ligne de chemin de fer!»

Si tout se passe bien, ces panneaux seront mis en place pour cet été.

Faire cohabiter cyclistes et piétons sur le RAVeL ne semble pas être aussi facile qu’il n’y paraît. Certains le qualifient même de «dangereux».

Une vitesse «excessive», un manque de respect et la non-signalisation de l’arrivée d’un vélo à proximité des piétons à l’aide d’une sonnette sont autant de comportements qui inquiéteraient une partie des personnes qui se baladent sur le RAVeL. La conseillère Maria Gentges (EC-LB) a relayé les inquiétudes de ses concitoyens « il y a des accidents graves, des gens qui se font renverser et se cassent quelque chose».

L’échevin des Sports André Blaise (EC-LB) assure avoir déjà réfléchi à ce problème. Des aménagements pourraient être réalisés dans le tronçon où se côtoient le plus piétons et cyclistes (entre le Hall Omnisports et Bellevue, en zone urbaine) pour rappeler à tous les règles de bonne conduite. «Il faudrait peut-être rappeler que les piétons doivent rester à gauche et les vélos à droite ou tracer une petite ligne au sol pour séparer le RAVeL en deux.»

Placer des panneaux supplémentaires?

D’autres solutions ont été évoquées comme le placement de panneaux supplémentaires tout au long du RAVeL, indiquer de ne pas dépasser une certaine vitesse ou encore d’être particulièrement attentif aux personnes se baladant avec des enfants ou un chien en laisse.

Quant à l’utilisation de la sonnette pour prévenir de l’arrivée, elle est jugée bien utile pour rassurer les piétons. Tout le monde est censé avoir une sonnette sur son vélo, selon les obligations du code de la route, rappelle André Blaise. Mais aucun contrôle de la police n’est à l’ordre du jour pour vérifier que chaque cycliste possède bien une sonnette. Un simple «Pardon!» ou «Attention!» prononcé bien fort pourrait d’ailleurs aussi faire l’affaire.

Le RAVeL constitue l’épine dorsale du réseau cyclable de Wallonie. Toutefois de nombreuses lignes ou liaisons sont encore à aménager. Mon objectif prioritaire pour les 5 prochaines années est l’aménagement des chainons manquants du réseau.

Il s’agit d’une part, de l’aménagement de courts tronçons manquants sur des sections existantes du RAVeL :

ligne 45 : liaison entre la fin du RAVeL et le centre de Trois-Ponts

développer le réseau RAVeL par l’aménagement des 300 km de chaînons prioritaires manquants en Wallonie. L’objectif est d’atteindre 1.700 km de RAVeL en 2019 ;

Les 300 km de chainons prioritaires manquants en Wallonie sont composés de :

1. Courts tronçons manquants souvent inférieurs à 2 km sur des sections existantes du RAVeL :

Ligne 45 : liaison entre la fin du RAVeL et le centre de Trois-Ponts.. .

À Malmedy aussi on veut être de la partie. L’association supracommunale participe à la réfection de l’ancienne gare en halte pour randonneurs et vélo-touristes. Sur un budget  travaux  de  60.000  euros, 15.000 euros sont subsidiés.

Étendre et sécuriser le tracé du RAVeL pour rejoindre le centre

La ligne 45 du RAVeL se termine à l’entrée de Trois-Ponts. La Commune voudrait qu’il rejoigne le centre.

La commune de Trois-Ponts veut créer une extension du parcours du RAVeL afin qu’il soit mieux sécurisé. La réalisation d’une passerelle est en projet.

Après être passés par Stavelot, lorsque les amateurs de balade à bicyclette débarquent de la ligne 45 du RAVeL à TroisPonts, ils atterrissent sur le terrain du Petit Spai, à l’entrée de la commune. Ils doivent alors passer en dessous des deux ponts pour rejoindre le centre de TroisPonts. Un passage avec peu de visibilité et plutôt dangereux pour les deux-roues.

« La sécurité n’est pas optimale pour les cyclistes à cet endroit et nous devons absolument trouver une solution pour sécuriser ces personnes qui vont vers le centre de Trois-Ponts », insiste Pascal Henriet, échevin du Tourisme. C’est de ce constat qu’est venue l’idée d’étendre le RAVeL en permettant aux cyclistes de longer la voie de chemin de fer. Au lieu de descendre vers la route, ils passeraient au-dessus, via une passerelle accolée au pont. « Nous avons eu des contacts avec le Service public de Wallonie pour avoir une passerelle qui surplomberait l’Amblève et serait attachée au pont. Les accords de principe sont fortement engagés et les plans de la passerelle sont presque terminés. » La passerelle serait pratiquement entièrement subventionnée par la Région wallonne et ne coûterait presque rien à la commune de Trois-Ponts.


Prolonger le tunnel sous les voies


Cette passerelle, en métal et longue d’une quarantaine de mètres, permettrait ensuite aux cyclistes d’utiliser une ancienne voie de service le long du talus du chemin de fer afin de rejoindre la gare. Là, d’autres travaux doivent être réalisés pour créer un passage sous les voies. « Un tunnel doit être conçu par Infrabel qui octroierait ainsi un passage depuis l’Amblève jusqu’à la gare, continue Pascal Henriet. Une partie du tunnel a déjà été confectionnée pour desservir les deux quais, mais elle doit être prolongée de quelques mètres pour pouvoir rattraper la route qui va vers le centre de TroisPonts. » La prolongation du tunnel sera prise en charge par Infrabel et la Commune est en pourparlers pour que la société finance également le morceau de RAVeL qui ira de la passerelle à la gare.
« Cette extension d’un RAVeL est très importante d’un point de vue touristique. Il y a beaucoup de demandes de la part des touristes », assure l’échevin. Le projet devrait se concrétiser dans le second semestre pour être mis en place à la fin de l’année 2016.

hesdrib a écrit:https://www.troisponts.be/projets-2/jonction-du-ravel-a-la-gare

Une enquête publique, en vue d’obtenir un permis d’urbanisme, est en cours à Trois-Ponts jusqu’au 28 septembre. Introduite par le SPW, la requête vise à construire une passerelle qui relierait la fin du RAVeL jusqu’à la N68 et la gare.

« À cet endroit le RAVeL se termine à l’entrée de Trois-Ponts. L’objectif est de faire une passerelle qui va le continuer jusqu’à la N68, la route de Coo. Après, il y aura un dispositif mis en place pour que le RAVeL se termine à la gare. On passe en dessous de la ligne de chemin de fer jusqu’à la N68 puis ce sera une piste cyclable », explique François Franquinet, porte-parole du SPW au sujet de la demande de permis d’urbanisme introduite par la Région et dont l’enquête publique est ouverte jusqu’au 28 septembre. Concrètement cette passerelle démarrera plus ou moins du parking à côté du terrain de foot, passera en dessous du viaduc et ira rejoindre le pont de la N68, en face de l’administration communale à peu près.

Ce projet devrait complètement changer l’allure de la route de Coo telle qu’elle est actuellement puisque la configuration de la route de Coo depuis cette passerelle jusqu’à la route de la gare va être revue. « Une piste cyclable sera aménagée côté gauche. En fait tout le pied du talus sera aménagé en une piste cyclable double sens qui sera séparée physiquement de la route et des voitures par un dispositif de sécurité », rapporte Philippe Elsen à la direction des routes de Verviers.

Peu d’impact sur le stationnement
Une enquête a été menée par le SPW pour estimer l’impact du projet sur les places de stationnement qui devraient être supprimées. D’après celle-ci l’espace de stationnement n’est pas très utilisé et les voitures qui souhaitent se garer auraient suffisamment de place pour le faire sur l’espace de stationnement situé de l’autre côté de la route. Les aménagements seraient d’ailleurs accompagnés de la mise en application d’un système de stationnement différent avec des zones de parking pour 30 minutes et davantage de places de parking au centre de Trois-Ponts.

Le projet, qui fait actuellement l’objet d’une enquête publique, n’est pas le premier proposé par le SPW pour poursuivre le RAVeL jusqu’à la gare. Il y a plusieurs années le SPW et la commune travaillaient sur une alternative. « Le projet antérieur continuait au-dessus et longeait le chemin de fer grâce à une passerelle attenante. Mais des analyses de la paroi rocheuse ont montré qu’il y avait des risques de chutes de pierre. C’était trop dangereux et les coûts de sécurisation étaient énormes. Le projet a donc changé et ce n’est pas mal du tout », précise Philippe Elsen.

Interrogé à ce sujet, le bourgmestre de Trois-Ponts préfère se prononcer lors de la fin de la réunion publique. « Je suis intimement convaincu que ramener les cyclistes dans la commune, ça amènera une plus-value au niveau du commerce local », glisse-t-il, même si l’on sent que le premier projet, abandonné par le SPW, récoltait également son suffrage.

D’autres pistes cyclables à venir
En parallèle à ce projet, et la commune et le SPW souhaitent revoir également les aménagements cyclables au départ du carrefour du centre de la commune. « On va faire des marquages sur la route pour rejoindre la piste cyclable qui existe déjà plus loin à Basse-Bodeux », rapporte Philippe Elsen qui n’exclut pas davantage d’aménagements pour les cyclistes dans le futur. C’est d’ailleurs le souhait de Francis Bairin. « Je reste convaincu qu’à terme on trouvera une solution pour relier Vielsalm au départ de la gare. Je veux rouvrir la question de cette liaison vers Vielsalm qui a été mise de côté. »

En attendant, la séance de clôture de l’enquête publique concernant la passerelle aura lieu à l’administration communale ce lundi 28 septembre à 9 heures.

Victoria Marche

Les travaux de liaison entre la fin du RAVeL et de la ligne 45A et la gare et le centre de Trois-Ponts, via une passerelle, devraient débuter au printemps. Coût estimé : 1.170.000 €.

« Dans la lignée, une rampe d’accès au RAVeL dans la rue du Champ de Tir va être aménagée à destination des élèves venant de la gare vers l’Athénée Royal Ardenne-Hautes Fagnes ». 21 000 € sont prévus pour la réalisation de cette rampe d’une cinquantaine de mètres en pente de 5 à 6%. Pour ces deux aménagements, des subsides à hauteur de 60% du montant total des travaux sont attendus

Une ordonnance de police contraint les cyclistes empruntant le RAVeL à être munis d’un «avertisseur sonore».

De nouveaux panneaux de signalisation vont faire leur apparition sur les RAVEL du côté de Stavelot.
l s’agit de petits panneaux bleus présentant l’image d’une corne d’avertissement comme il, y en avait avant, avec des dessins d’ondes par-dessus. Ces signaux rendent désormais obligatoire l’usage d’une sonnette ou d’un avertisseur sonore pour les cyclistes qui empruntent les deux tronçons de RAVELS qui traversent la ville.

Multiplication des plaintes
Depuis le premier confinement au printemps dernier, la fréquentation des itinéraires cyclables a fortement augmenté. C’est le cas notamment pour ces RAVELS. Ils sont fréquentés par les cyclistes mais également par les piétons et les nombreuses familles avec enfants. Une cohabitation qui n’est pas toujours évidente : "A ma connaissance, on n’a pas eu d’accident mais une multiplication des plaintes, ça oui", explique Patrice Lefèbvre, échevin du tourisme, des sports et de l’information.

"Des piétons qui se plaignent de vélos qui vont trop vite, qui arrivent dans leur dos sans qu’ils s’en aperçoivent. On a aussi des plaintes de cyclistes pour des chiens qui ne sont pas tenus en laisse, c’est en effet une obligation. Des cyclistes qui se plaignent aussi de personnes et surtout des enfants qui ne marchent pas droit sur le RAVEL mais là, ils ont tort, il n’y a pas de couloirs piétons-cyclistes et le RAVEL, c’est prévu, est un espace de jeux pour les enfants". L’échevin qui rappelle aussi que, et c’est valable partout, les vélos électriques pouvant dépasser les 25 km/h sont interdits sur les RAVELS.

Information et contrôles
Pour obliger les cyclistes à prévenir les piétons de leur arrivée, la ville a donc décidé de prendre une ordonnance de police. "Elle se base sur un article du Code de la route qui oblige tout cycliste à équiper son vélo d’un avertisseur sonore audible à 20 mètres au moins et on y a ajouté l’obligation d’utiliser cet avertisseur pour prévenir les piétons qui n’auraient pas vu les cyclistes arriver", ajoute l’échevin.

L’ordonnance est d’ores et déjà d’application. La population en sera avertie par bulletin communal et petits panneaux et puis, la police, dans la mesure du possible, effectuera des contrôles à certains moments notamment lors des jours de beau temps et de vacances scolaires.

« A Trois-Ponts, actuellement, nous effectuons un chantier qui est en cours pour sécuriser un passage sous les ponts, qui n’est pas optimal, qui est vraiment dangereux. Donc, les aménagements sont en cours avec une passerelle qui s’accroche à l’ouvrage d’art de la SNCB, qui permettra de rejoindre la gare de Trois-Ponts", explique Philippe Elsen, directeur Direction des routes de Verviers - SPW.