02 EV19 - eurovelo 19 - La Meuse à vélo - Voie Verte Trans-Ardennes part 2 (Charleville-Mézières - Mouzon)

velo-ravel.net a écrit:Mes photos : https://goo.gl/photos/RcgGMtC7FoXCLuzS6

joverwimp a écrit:as-tu eu l'occasion de suivre un bout du canal des Ardennes, qui rejoint la Meuse à Dom-l-Mesnil ?

c'est la canicule. On recherche la fraîcheur de l’ombre, voire tremper ses pieds dans l’eau. Un programme un peu ennuyeux? Qu’à cela ne tienne, ce dimanche, les calmes bords de Meuse seront beaucoup plus animés le 25 juin avec l’événement.Un Dimanche au bord de l’eau». Pour sa seconde édition, ce sont 18 stands, huit associations et de nombreuses activités qui seront proposées aux flâneurs du côté du pont de la gare. Il faut dire que  la première tentative est allée au-delà de nos espérances ....

C’est le dernier tronçon qui manquait pour compléter la Trans-Ardennes. Dans un an, les cyclistes pourront relier Givet à Mouzon sans jamais la quitter.

Commencée en 2015, la liaison entre Charleville-Mézières et Mouzon avait connu un long temps d’arrêt. Mais les travaux de la voie verte (ou Trans-Ardennes) vont enfin redémarrer d’ici quelques semaines. Le conseil départemental espère terminer les dix kilomètres qui manquent entre Remilly-Aillicourt et Mouzon d’ici la fin de l’année prochaine. Soit un an de retard sur le programme. La voie verte fera alors près de 130 km.

Pourquoi un an de travaux ? Parce que les ouvriers doivent travailler en pointillé. "Nous sommes en plein site Natura 2000..."

C’est le dernier tronçon qui manquait pour compléter la Trans-Ardennes. Dans un an, les cyclistes pourront relier Givet à Mouzon sans jamais la quitter.
Commencée en 2015, la liaison entre Charleville-Mézières et Mouzon avait connu un long temps d’arrêt. Mais les travaux de la voie verte (ou Trans-Ardennes) vont enfin redémarrer d’ici quelques semaines. Le conseil départemental espère terminer les dix kilomètres qui manquent entre Remilly-Aillicourt et Mouzon d’ici la fin de l’année prochaine. Soit un an de retard sur le programme. La voie verte fera alors près de 130 km.
Pourquoi un an de travaux ? Parce que les ouvriers doivent travailler en pointillé. "Nous sommes en plein site Natura 2000..."

La voie verte, c’est parti entre Mouzon et Remilly-Aillicourt ! Lorsque ce tronçon sera terminé, la Trans-Ardennes sera complète. Fin des travaux prévue dans un an.

C’est le dernier tronçon qui manquait pour terminer la Trans-Ardennes. D’ici un an, les cyclistes pourront relier Givet à Mouzon sans quitter la voie verte. Les travaux ont commencé entre Mouzon et Remilly-Aillicourt. Ils devraient être terminés d’ici fin 2018. La Trans-Ardennes comptera alors près de 130 km.

Les travaux ont commencé à Mouzon pour rejoindre la voie verte qui s’arrête actuellement à Remilly-Aillicourt. Ce morceau de 10 km complétera la Trans-Ardennes qui commence à Givet. Les travaux devraient être arrêtés en mars prochain car le site est classé Natura 2000 et il est interdit de faire des travaux en période de nidification. Le conseil départemental des Ardennes espère tout de même finir la voie verte fin 2018.

Coût ? 2,1 million d’euros.

La route comprise entre Remilly-Aillicourt et Bazeilles, la départementale 129, est actuellement coupée. Elle est inondée à proximité de l’auberge du Port.

À la suite des précipitations répétées, le cours d’eau la Chiers a rejoint récemment la Meuse, inondant le chemin départemental 4,5 de la commune de Remilly-Aillicourt à la commune de Douzy.

La voie verte qui longe le chemin départemental s’est elle aussi retrouvée inondée. Les terrains ensemencés sont sous les eaux.

Nouvelle étape pour la Voie verte Trans-Ardennaise à Mouzon.

C'est presque la touche finale qui est donnée par la pose du revêtement. Joli tapis bien plat où les cyclistes devront respecter les piétons moins rapides.

Malheureusement, on sait qu'il faudra encore attendre pour rallier Remilly-Aillicourt... et au-delà Givet ! Mais, avouons, que nous avons appris à être patients !

velo-ravel.net a écrit:http://www.mouzon.fr/article/pose-du-revetement-sur-la-voie-verte.html

Nouvelle étape pour la Voie verte Trans-Ardennaise à Mouzon.

C'est presque la touche finale qui est donnée par la pose du revêtement. Joli tapis bien plat où les cyclistes devront respecter les piétons moins rapides.

Malheureusement, on sait qu'il faudra encore attendre pour rallier Remilly-Aillicourt... et au-delà Givet ! Mais, avouons, que nous avons appris à être patients !

Voir photos sur le lien plus haut.

Dans certains secteurs sa construction est ralentie par des lourdeurs administratives.

Alors que la voie verte dans Mouzon est en partie terminée et que des Mouzonnais s’y promènent déjà le long de la Meuse, tout autour, on l’attend avec impatience. Ainsi, du côté meusien, le tronçon Mouzon-Sivry-sur-Meuse qui devrait passer sur l’ancienne voie ferrée n’est troujours pas construit. Daniel Guichard, le président de la communauté de communes du Pays de Stenay et du Val Dunois explique ce retard : « J’ai refait récemment un courrier à Réseau Ferré de France afin de tenter d’accélérer le processus de déclassement de la voie ferrée ainsi que sa mise à disposition pour les communauté des communes. »

«Nous sommes en plein dans la lourdeur administrative : mes premières demandes datent d’il y a cinq ans» Daniel Guichard

Cela a été acté en conseil d’administration. Mais le déclassement doit également être validé au niveau national. « Nous sommes en plein dans la lourdeur administrative puisque mes premières demandes datent d’il y a cinq ans, déplore Daniel Guichard. Mais restons positifs... »

Tandis que la Véloroute, la voie verte située sur le territoire du « Grand Verdun », est ouverte de Samogneux à Verdun, le projet sur le territoire de la communauté de communes de Centre Argonne se fait lui aussi attendre. Les élus, les habitants de la vallée de la Meuse et de toute la région s’inquiètent et s’interrogent sur l’avancée concernant de tronçon d’environ 12 km de la Véloroute reliant Sivry-sur-Meuse à Samogneux. Quant à la voie verte entre Mouzon et Remilly-Aillicourt, là aussi, l’attente devient longue pour tous.

Des travaux de prolongement de 9,7 km jusqu’à Mouzon sont en cours. L’achèvement est prévu pour fin 2018.

C’est actuellement une voie en pointillés puisqu’elle est dans Mouzon seulement en partie terminée. S’il y a autant d’attente, c’est que les ouvriers doivent travailler en pointillés en raison de la nidification car le tracé se trouve en plein site Natura 2000.

velo-ravel.net a écrit:https://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2018/05/16/voie-verte-toujours-l-attente

Des travaux de prolongement de 9,7 km jusqu’à Mouzon sont en cours. L’achèvement est prévu pour fin 2018.

[size=35]À Sedan, les bords de Meuse sont noyés sous les lingettes[/size]


Entre le pont neuf, boulevard de Chanzy, et la station d’épuration de Glaire, la voie verte se partage entre cannettes et lingettes boueuses. Ce n’est pas la carte postale dont rêvent les touristes.




À Sedan, il n’y a pas d’argent, mais il y en a pour boire ! » Planté devant un nid de cannettes de bières abandonnées sur l’herbe, Michel Alexandre préfère rire que pleurer devant l’état de saleté de la voie verte. Pêcheur, amateur de cyclisme, ce retraité dynamique aime sa ville mais beaucoup moins le traitement que certains habitants infligent au lieu de promenade.
« C’est essentiellement entre le pont neuf boulevard de Chanzy et la station d’épuration de Glaire. C’est incroyable. Les branches des arbres sont envahies de lingettes boueuses. Elles ont été accrochées là avec la crue de l’hiver dernier. En été, on les voit moins avec la végétation, mais là c’est vraiment répugnant », constate Michel.

Des centaines de cannettes

La balade à pieds depuis le pont neuf est riche d’enseignements. Tout commence par les eaux de l’écluse, où bouteilles en plastique et déchets flottent au milieu de dépôts marron. Les murs des anciens bâtiments industriels sont la proie de tags. Au loin, on devine déjà les premiers « pendouillages dégueu » dans les arbres. « Mais s’il n’y avait que cela », prévient Michel Alexandre. « Il y a des centaines de cannettes, de bières essentiellement, en verre ou en métal, abandonnées dans les bas côtés ou à même le sol. »
Le retraité avait l’habitude de pêcher à ce niveau, il a préféré trouver un autre coin. « Quand je vois ce qu’il y a sur les berges, je n’ose pas imaginer comment c’est au fond de l’eau », s’inquiète Michel. Et de poursuivre : « De toute façon, à ce niveau les pêcheurs remontent régulièrement des lingettes. » Joignant le geste à la parole, il en ramasse justement une jetée dans l’herbe.
D’où viennent ces carrés de tissus, pas biodégradables  ? Michel pense aux collecteurs d’eaux de pluie. « Il faudrait surtout que les gens arrêtent de balancer n’importe quoi et de salir la nature », tranche-t-il.
Quant au conseil départemental, joint par mail comme demandé, il n’avait toujours pas répondu à nos questions vendredi soir. C’est pourtant lui qui est à l’initiative de la voie verte. L’objectif était d’offrir au département un atout touristique. En ce sens, la voie verte, au moins sur ce tronçon, mérite d’être sérieusement nettoyée. En 2015, plus de 185 000 personnes ont emprunté cette voie sur berge.
Un troisième accès à la voie verte à Sedan
Pour rejoindre la voie à Sedan, les promeneurs peuvent soit passer par les étangs de la gare, soit par l’entrée au niveau de l’écluse. Mais il existe une troisième possibilité, nettement « plus sauvage ». Une pente part du pont neuf pour rejoindre en pente douce la voie. Le sol est en gravier et il ne faut pas craindre de jouer des coudes avec les arbustes. Beaucoup rêvent déjà de la voir aménagée.

Les marcheurs et cyclistes s’accusent mutuellement d’avoir des comportements dangereux et d’empêcher les autres de profiter pleinement des lieux.

L’été, c’est un lieu de promenade très fréquenté. La Voie verte attire les Ardennais qui veulent profiter des bords de Meuse et des vacanciers en quête de balades bucoliques. C’est un chemin où se croise une grande variété d’usagers, des promeneurs solitaires, en famille ou entre amis. Mais c’est aussi un lieu de crispation entre les marcheurs et les cyclistes, chacun accusant l’autre d’avoir un comportement dangereux et égoïste.

D’un côté, il y a les promeneurs pédestres qui dénoncent ceux qui pédalent trop vite. Sur Facebook, les témoignages sont nombreux. Il y a notamment Thierry qui explique que « le seul souci, c’est avec les personnes à vélo de course qui roulent sur la Voie verte à toute allure » ou encore Loïc qui évoque « certains cyclistes qui ont de mauvais comportements quand ils sont à 40 et qu’ils zigzaguent entre les personnes qui marchent pour ne pas faire baisser leur moyenne ».

“En plein été dans la journée, il faut faire preuve d’intelligence, il y a des enfants, on ne peut pas se permettre de rouler vite”

Les plaintes de promeneurs, victimes de cyclistes circulant à vive allure sont pléthores. Zenarine estime que « la promenade pédestre devient stressante toujours à regarder derrière soi s’il n’y a pas un vélo, un roller, une trottinette qui va nous rouler dessus. » Une situation qui pousse même certains marcheurs à délaisser la Voie verte, surtout lorsqu’ils sont avec des enfants en bas âge, au profit des promenades en forêt.

Mais face à ces témoignages, les cyclistes aussi dénoncent le comportement de certains marcheurs qui occupent toute la largeur de la voie. C’est ce à quoi a été confronté Loïc : « Entre Montcy-Notre-Dame et Nouzonville, je me retrouve derrière un groupe de marcheurs qui était sur les deux voies. Je ralentis, préviens de ma présence et dit même merci aux gens qui se sont déplacés et quand je redémarre l’une d’entre elle a lancé “ils nous font chier avec leur vélo à la con, ils n’ont qu’à aller sur la route”. » L’incompréhension semble grande entre les marcheurs et les cyclistes. Toujours sur Facebook, Mathieu explique « qu’il ne supporte plus le comportement de certains piétons qui confondent un coup de sonnette “je vous préviens que j’arrive derrière” et “cassez-vous de mon chemin”. Comme le clignotant, la sonnette est un avertisseur de courtoisie, pas un klaxon, arrêtez de vous vexer. »

Les règles à suivre par tous sur la Voie verte
Pour circuler en toute sécurité sur la Voie verte, certaines règles de bonne conduite sont à respecter par tous les usagers.

Les cyclistes doivent être munis d’un vélo en bon état équipé d’une sonnette fonctionnelle et porter un casque. Les cyclistes, rollers, ou trottinettes doivent anticiper et adapter leur vitesse à la situation et avertir lors des dépassements.

Les maîtres de chiens doivent tenir leur animal en laisse et veiller à ne pas obstruer la voie.

Sur la Voie verte, il faut toujours circuler sur la voie de droite et rester bien à droite. La priorité est donnée aux promeneurs les plus lents. En aucun cas, il ne faut marcher ou circuler au milieu de la voie et gêner la circulation.

Il est déconseillé de se déplacer avec des écouteurs dans les oreilles.

Dominique, un cycliste habitué de la Voie verte entre Montcy-Notre-Dame et Nouzonville, estime qu’il « faut adapter sa vitesse à la fréquentation. Lorsque je veux faire un peu de vitesse, je viens entre 7 heures et 9 heures quand je suis certain de ne croiser personne ou presque mais en plein été dans la journée, il faut faire preuve d’intelligence, il y a des enfants, on ne peut pas se permettre de rouler vite. »

Quant à Jacques, un pêcheur qui vient régulièrement titiller les poissons sur la Voie verte, il remarque qu’il « n’y a pas d’indication, de panneau qui explique qui est prioritaire donc tout le monde pense avoir raison en circulant en plein milieu ». D’autres soumettent l’idée de créer des couloirs spécifiques pour les piétons et les vélos. Peut-être un début de réflexion. Mais la meilleure solution reste de prendre une grande inspiration, de lever le pied et de se détendre en profitant du paysage.

Des contrôles de police rares
La police nationale a la possibilité d’effectuer des contrôles sur la Voie verte. « Il y en a beaucoup moins régulièrement que sur la voie publique », précise le commandant Mailot, numéro 2 de la police ardennaise.

Un arrêté préfectoral limite la vitesse des engins motorisés à 30 km/h.

Les cyclistes, sur la Voie verte comme ailleurs, sont soumis au code de la route. En cas de non-respect, les contrevenants s’exposent à une amende de 135 euros (feu rouge, stop, sens interdit, oreillette). En revanche, les cyclistes ne risquent pas de perdre de points sur leur permis de conduire.

La police municipale n’a pas été en mesure de répondre à nos questions

Cinq panneaux d'information touristique ont été implantés sur la voie verte.



Bravo aux services techniques de la ville qui ont scellé les totems et fixé les panneaux ! On en rencontre cinq entre La Fourberie (face à ArcelorMittal) et le square Saint-Bernard.

L'objectif est d'inciter les promeneurs à passer le pont et à entrer en ville. Les thèmes évoqués sont l'histoire religieuse, militaire, industrielle et le Musée du feutre.

Déjà, les premiers promeneurs se sont arrêtés pour lire, comme ce couple venu de Lorraine qui a apprécié qu'on veuille les informer sur la ville traversée. Dès que la Voie verte sera complète, les passages devraient se multiplier.

On envisage de compléter ces informations par une liste des commerces pouvant accueillir les touristes.