Bus : Belgique

La société de transport européenne Flixbus lancera dès fin avril ses premières liaisons de bus nationales en Belgique, a-t-elle annoncé ce mardi lors d'une conférence de presse à Bruxelles. Avec des lignes entre Bruxelles et Anvers, Liège et Ostende ou encore Louvain et Gand, Flixbus se présente comme le premier opérateur privé à fournir des liaisons domestiques longues distances.
Flixbus est entré en 2013 sur le marché Allemand avec ses bus verts modernes et son approche digitale. La société est arrivée en Belgique 2 ans plus tard et propose actuellement 21 liaisons internationales depuis le pays. Les lignes Bruxelles-Amsterdam et Bruxelles-Paris sont les plus populaires.

"Nous sommes ravis de pouvoir désormais proposer des lignes domestiques", affirme Jesper Vis, directeur général pour le Benelux. Une connexion entre Bruxelles et Anvers est déjà disponible et une vingtaine de trajets entre des villes belges seront effectués dès fin avril.

Parmi les nouvelles lignes, on trouve notamment Bruges-Bruxelles, Anvers-Bruges, Liège-Bruxelles, Verviers-Liège, Verviers-Anvers ou encore Gand-Liège à des prix allant de 3,99 euros à 5,99 euros.

Les fréquences seront progressivement renforcées en fonction du succès des différentes offres, a expliqué l'entreprise mardi.


Nouvelles offres internationales

Par ailleurs, de nouvelles connexions internationales vers la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suisse seront proposées dès avril 2018.

Flixbus se charge du marketing, de la vente et de la planification ainsi que du développement technologique, mais a désigné l'entreprise Staf Cars, basée à Lommel, comme partenaire pour opérer la flotte au quotidien.

En 2017, 1,3 million de personnes ont utilisé le service de Flixbus depuis et vers la Belgique, ce qui a permis à la société d'atteindre la rentabilité sur le sol belge. Elle souhaite toucher deux millions de clients en 2018. En tout, Fl

joverwimp a écrit:... ze bieden niet alleen plaats voor meer reizigers, maar ook voor fietsen en bagage. De trambussen zijn ook toegankelijk voor rolstoelgebruikers.

joverwimp a écrit:

joverwimp a écrit:... ze bieden niet alleen plaats voor meer reizigers, maar ook voor fietsen en bagage. De trambussen zijn ook toegankelijk voor rolstoelgebruikers.

Ik vroeg aan De Lijn hoeveel fietsen mee kunnen en wat het kost. Nu is de enige mogelijkheid de kusttram, waar een fietsbiljet 2 euro kost. Maar daar zit zoveel volk op dat je geen plaats vindt voor een fiets ...
 
Het antwoord van De Lijn liet lang op zich wachten: vermoedelijk waren ze verrast. Fietsen op de bus, dat was ongezien.
"Fietsen zijn toegelaten op de Ringtrambus. Momenteel blijft dat nog wel beperkt tot vouwfietsen, die je dan gratis kan meenemen op voorwaarde dat je andere reizigers niet hindert.
Wij zijn momenteel nog in overleg om een regeling uit te werken waarbij ook niet-vouwbare fietsen in veilige omstandigheden kunnen meegenomen worden. Om voor de hand liggende reden, zal de toelating beperkt blijven tot de daluren. Bedoeling is dat er buiten de spitsuren per voertuig maximaal 2 niet-opvouwbare fietsen meekunnen, voor zover de bezetting van het voertuig dat toelaat. Hieraan zullen geen kosten verbonden zijn. Meer informatie hierover volgt op korte termijn op onze website."

Vreemd, geen kosten. Weten ze wel dat je 2 euro moet betalen op hun tram ? 
[www.delijn.be/nl/vervoerbewijzen/tickets/biljet-fiets.html#:~:text=

Des centaines de milliers de Wallons bénéficieront d’une quasi-gratuité au TEC à partir de septembre 2022. Cela concerne les statuts BIM et les seniors. Par ailleurs, le gouvernement s’est prononcé ce jeudi sur l’indexation des tarifs.

Actuellement, les 65+ payent 36€ par an pour un accès total au réseau TEC, dont les lignes Express. À partir de septembre 2022, ce tarif annuel sera ramené à 12 euros par an, soit 1 euro par mois. Selon les estimations de l’Opérateur de transport de Wallonie, il compte environ 150.000 clients parmi les plus de 65 ans. Avec l’instauration de cette quasi-gratuité, ce nombre pourrait augmenter. Quelque 690.000 seniors vivent en Wallonie.

Cette mesure profitera également, à la même date, aux personnes bénéficiant du statut BIM (Bénéficiaires de l’Intervention Majorée). Sont notamment concernés les bénéficiaires du revenu d’intégration sociale, les bénéficiaires d’une allocation de personne handicapées et les personnes âgées bénéficiant d’un revenu garanti (GRAPA). Il y a 790.000 statuts BIM en Wallonie et près de 140.000 empruntent les lignes du TEC.

« Les crises successives que la Wallonie traverse touchent de manière encore plus marquée les publics déjà les plus fragiles et il est indispensable de répondre aux besoins de mobilité de tous », souligne le ministre Philippe Henry qui a souhaité accélérer la mesure de gratuité pour les plus démunis. À l’initiative du ministre régional de la Mobilité, le gouvernement wallon a approuvé ce jeudi une nouvelle trajectoire concernant la gratuité progressive du TEC.

Si le Gouvernement a opté pour le tarif à 1 euro par mois plutôt que pour la gratuité complète, c’est notamment en lien avec la fiscalité des subventions versées par la région wallonne, mais aussi pour des raisons pratiques : la lisibilité pour l’usager est améliorée en chargeant un abonnement à un tarif symbolique, qu’il doit continuer à valider.

Une première diminution de tarifs TEC avait eu lieu le 1er septembre 2020 pour les bénéficiaires du statut BIM. Ils avaient eu droit à l’application du tarif réduit « familles nombreuses » pour l’ensemble des abonnements. Par contre, les 65 ans et plus n’avaient pas encore bénéficié à ce jour de l’engagement pris dans la Déclaration de Politique Régionale lors de la formation du gouvernement.

Les 18-24 ans
Ce jeudi, le Gouvernement s’est aussi penché sur les jeunes de 18-24 ans. Après avoir été visés par deux réductions successives en 2020 et 2021, ils seront sous le régime de la quasi-gratuité à partir du 1er septembre 2023. Leur abonnement annuel sera aussi ramené à 12 euros.

Pas d’indexation jusqu’en 2024
Chaque année, le TEC peut revoir à la hausse ses tarifs de manière équivalente à la variation de l’indice des prix à la consommation. Cette indexation aurait dû être de 1,63 % au 1er février 2022.

Étant donné la conjoncture économique actuelle et la hausse des prix de l’énergie qui ont un impact non négligeable sur le pouvoir d’achat des ménages, une augmentation des prix des transports en commun aurait été difficile à assumer pour une partie de la population. Le gouvernement a donc décidé de ne pas appliquer d’indexation sur les tarifs TEC et ce, jusqu’à la fin de la législature.

100 millions d’euros
Ces diverses mesures représentent un effort régional de 100 millions d’euros entre 2022 et 2024/ « Au bénéfice direct des usagers actuels et futurs des transports en commun », souligne le ministre Henry. Et de conclure : « Parallèlement à l’augmentation de l’offre et aux investissements colossaux dans les infrastructures et dans le matériel roulant, cette non-indexation des tarifs, combinée à la gratuité progressive, constituent assurément un signal positif en faveur du report modal, et la garantie d’un droit essentiel pour beaucoup à pouvoir se déplacer ».

Des centaines de milliers de Wallons bénéficieront d’une quasi-gratuité au TEC à partir de septembre 2022. Cela concerne les statuts BIM et les seniors. Par ailleurs, le gouvernement s’est prononcé ce jeudi sur l’indexation des tarifs.

Actuellement, les 65+ payent 36€ par an pour un accès total au réseau TEC, dont les lignes Express. À partir de septembre 2022, ce tarif annuel sera ramené à 12 euros par an, soit 1 euro par mois. Selon les estimations de l’Opérateur de transport de Wallonie, il compte environ 150.000 clients parmi les plus de 65 ans. Avec l’instauration de cette quasi-gratuité, ce nombre pourrait augmenter. Quelque 690.000 seniors vivent en Wallonie.

Cette mesure profitera également, à la même date, aux personnes bénéficiant du statut BIM (Bénéficiaires de l’Intervention Majorée). Sont notamment concernés les bénéficiaires du revenu d’intégration sociale, les bénéficiaires d’une allocation de personne handicapées et les personnes âgées bénéficiant d’un revenu garanti (GRAPA). Il y a 790.000 statuts BIM en Wallonie et près de 140.000 empruntent les lignes du TEC.

joverwimp a écrit:
... En tant que partenaire du projet EMR Connect, le TEC est conscient des problèmes engendrés par ces disparités, en particulier dans une zone où les trajets transfrontaliers sont légion.  Le TEC a donc décidé d’organiser, à partir du 1er août 2021 et pour une durée d’un an, un projet pilote d’embarquement de vélos non pliables sur 4 lignes :

la ligne 385 Eupen - Mützenich - Monschau - Kalterherberg
la ligne 390 Verviers - Rocherath
la ligne 395 Verviers - Malmedy - Reuland
la ligne 738 Verviers - Battice - Thimister - Aubel

Moyennant le respect des conditions reprises ci-dessous, les cyclistes peuvent embarquer avec leur vélo traditionnel à bord des bus de ces 4 lignes et ce, sans "billet vélo". Si l’usager est tenu de s’acquitter d’un titre de transport, le vélo, lui, est embarqué gratuitement.  

Les conditions ?
Maximum 2 vélos par bus
Uniquement les samedis, dimanches et jours fériés, ainsi que la semaine durant les vacances scolaires
Positionnement du vélo au niveau de l’emplacement PMR
Priorité absolue aux poussettes et aux personnes à mobilité réduite, tout le long du trajet. Le cycliste DOIT, le cas échéant, céder sa place à la personne en chaise roulante, quitte à descendre du véhicule si cela s’avère nécessaire
Obligation pour le cycliste d’attacher son vélo à la barre horizontale de la plateforme PMR. Il est responsable de son vélo, de sa stabilité et de tous dommages que celui-ci pourrait causer aux autres usagers ou au matériel du TEC

L’accès des vélos aux lignes 385, 390, 395 et 738 est INTERDIT :

En cas de forte affluence
Si la plateforme PMR est occupée par une poussette ou une chaise roulante
Aux vélos qui ne sont pas propres
Aux tandems, tricycles et vélos-moteurs
Les arrêts des lignes 385, 390, 395 et 738 sont équipés d’une affichette reprenant les modalités. Consultez-là !

Pourquoi ce projet pilote ?
Il constitue une alternative à la voiture pour accéder avec son vélo au réseau RAVel de l’Est de la Belgique
Il lève une barrière à la mobilité transfrontalière en harmonisant les pratiques des opérateurs de transport
Il valorise l’offre du TEC en période creuse (week-end et vacances)
Il régularise une situation de fait où certains conducteurs acceptaient les vélos lorsque c’était possible en termes de place disponible à bord
Le TEC évaluera régulièrement le bon déroulement de ce test d’embarquement et décidera, au bout de l’année écoulée, s’il convient de le pérenniser.
(https://www.letec.be/#/News/Detail/14412)

joverwimp a écrit:Les lignes express sont des cars disposant parfois d'une soute.
Ces bus pourraient prendre des velos; comme en France. Le TEC toutefois n'accepte que des vélos pliables.
Il n’y a pas de soutes dans les cars circulant sur les lignes Express de l’entité Liége- Verviers, ces lignes étant principalement destinées aux travailleurs et aux étudiants et non aux touristes. Des véhicules équipés de soutes ne sont dés lors pas nécessaires

Il y a une expérience pilote sur la ligne E5 entre Nivelles et Namur: jusqu’au 30 juin 2023 les navetteurs peuvent embarquer leur vélo, qu’ils placent eux-mêmes  soit en soute, soit sur un portevélo fixé à l’arrière du bus , selon le véhicule qui se présente.
Un tutoriel est accessible en ligne pour les aider. Il s’agit d’un test pour évaluer la satisfaction des clients et du personnel, la capacité de prise en charge ou encore l’impact sur la vitesse de la ligne.