01 EV19 - eurovelo 19 - La Meuse à vélo - Voie Verte Trans-Ardennes part 1 (Givet - Charleville-Mézières)

Les usagers, qu’ils circulent à pied ou à vélo, sont unanimes : emprunter la départementale 46 DA pour relier Ham-sur-Meuse à Chooz, c’est dangereux. L’axe est pentu et fréquenté chaque jour par un nombre important de véhicules. Et pourtant, à l’heure actuelle, c’est le seul chemin qui permet de relier la rive droite de la Voie verte via le pont de Chooz. En tout cas pour l’instant. «  Non seulement c’est totalement dangereux, mais ça nuit à l’objectif même de cette Voie verte  », commente Bernard Dekens, le président de la communauté de communes Ardenne Rives de Meuse.

Limiter le coût

Lors du vote de son budget primitif pour l’année 2011 du conseil général, l’assemblée départementale a décidé de prendre en charge la maîtrise d’ouvrage de l’aménagement d’une prolongation de la Voie verte en rive droite de la Meuse entre Ham-sur-Meuse et Chooz, à hauteur de 300 000 euros, «  le même financement au mètre que ce qu’il a fait pour le reste de la Voie verte  », précise Bernard Dekens. Bien loin du coût d’une telle opération, estimée à quatre fois cette somme. Si d’autres subventions doivent venir se greffer à celle-ci, Ardenne Rives de Meuse a quant à elle décidé de s’occuper de la gestion des acquisitions immobilières des différentes parcelles que la Voie verte traversera ensuite.

Une réunion s’est tenue dans les locaux du conseil général en mai dernier, histoire d’arrêter un choix parmi les différents itinéraires possibles. Le tracé précis de ce tronçon a été défini, de façon à limiter le coût des travaux et réduire au maximum le passage par des propriétés privées.

« Un travailde longue haleine »

Les propriétaires ont donc été sollicités pour le rachat de leur terrain. Deux parcelles cadastrées de 440 et 626 m2 ont déjà été achetées par la com’ com. «  On continue les négociations, il y aura d’autres parcelles à acheter, poursuit Bernard Dekens. C’est un travail de longue haleine. » «  Et pas seulement à cause des contraintes budgétaires, ajoute Claude Wallendorff, le directeur général des services de la com’ com. Ce qui entre en compte aussi, c’est la longueur des démarches administratives.  »

Les usagers de la Voie verte devront donc s’armer encore d’un peu de patience, avant d’arrêter d’emprunter la départementale.

LAIFOUR (08). La voie verte est bloquée par un amas de roches qui s’est détaché de la falaise ce vendredi soir.

Ce vendredi soir, un important dispositif de secours et de reconnaissance a été déployé, vers 20 heures dans la commune de Laifour, au lieu-dit La Petite commune. Un rocher est tombé sur la voie verte qui borde la Meuse. Le bloc de roche de 15 m3 s’est cassé en deux en tombant. Les spécialistes venus sur place estiment que le plus gros morceau actuellement sur la chaussée pèse 13 tonnes.

Cette chute de pierre n’a pas fait de blessé. Des pompiers d’une équipe spécialisée sont intervenus pour s’assurer qu’aucun piéton ou automobiliste n’avait été écrasé. Les gendarmes ont mis en place une déviation.

La D1, qui mène au lieu dit La petite commune, est coupée. Elle le restera jusqu’en début de semaine prochaine. Lundi, ce sont les techniciens du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) qui viendront sur place expertiser la paroie. Mardi, une entreprise devrait s’occuper de purger la falaise et dégager la route.
L'union-L'Ardennais

LAIFOUR (08). Le rocher étant tombé, l’heure est désormais aux travaux de nettoyage le long de la Voie Verte afin de sécuriser l’endroit, en prévenant tout nouveau risque d’éboulement.

Les opérations ont débuté mardi 17 février, à la fraîche, vers 7h30. Sollicitée par la mairie, la société CAN, spécialisée dans le traitement des risques naturels, a dépêché une équipe de quatre personnes. Leur mission : purger la falaise d’où s’est détaché le fameux rocher finalement tombé sur la Voie Verte, à 1,5 km environ de La Petite Commune.

La première partie des opérations a consisté à bien identifier l’endroit d’où s’est décroché le gros caillou, puis à installer tous les cordages nécessaires avant de pouvoir réellement débuter la purge. Car dans sa chute, la pierre a détaché d’autres blocs restés coincés entre les arbres. « Le sol est très glissant, on a l’impression d’être sur de l’ardoise », confie Stéphanie Boulic, en première ligne le long de la paroi de schiste.« Il faut commencer par le haut, en espérant que cela nettoie le bas », poursuit son collègue Matthieu Lombard, sans trop y croire non plus. Les travaux commencés hier matin doivent se poursuivre, au mieux, jusqu’à ce soir. Mais il n’est pas exclu de les prolonger d’un jour ou deux.

Une personne du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) était également présente sur les lieux, hier matin. « On vient une fois, pour constater l’événement, fait savoir Ysoline Thuon, géologue. De toute façon, nous aurions préconisé une purge pour faire tomber les morceaux menaçants à court terme. »

Par la suite, le BRGM pourrait demander une étude plus approfondie sur le tronçon allant du pont de Laifour jusqu’à 100 m après celui de la SNCF. La semaine prochaine déjà, une inspection de la paroi par la société experte devrait être effectuée, à la demande de la SNCF, non loin de la voie ferroviaire afin de se prémunir de tout danger éventuel, « même si les blocs, à cet endroit, ne semblent pas menaçants », d’après l’experte.

Mais pour en revenir au gros caillou, ce dernier sera poussé le long de la falaise par les services techniques de la mairie de Revin, une fois la zone nettoyée. « C’est très important de ne pas l’enlever complètement, ne serait-ce que pour la mémoire, tranche Ysoline Thuon. Cela peut aussi faire rempart en cas d’éboulements nouveaux. Puis en le voyant, les gens qui passent pourront plus facilement prendre conscience du danger. » Mais en attendant, la route est toujours barrée.

velo-ravel.net a écrit:Un itinéraire Vélo franco-belge, regroupant la Voie Verte et le Ravel, pour 140 kilomètres entre Charleville-Mézières et Namur, le long de la Meuse!

La Voie verte constitue un véritable atout touristique pour notre département et participe à son dynamisme. Depuis 12 ans, le Conseil général des Ardennes poursuit son aménagement et n’hésite pas à relever de nouveaux défis. Il a ainsi lancé le projet de prolonger cette voie jusqu’à Mouzon.

Cette prolongation est prévue jusqu’à la frontière entre les départements des Ardennes et de la Meuse. Celle-ci traversera notamment les communes de Charleville-Mézières, Lumes, Donchery, Sedan et Mouzon, soit 57 km supplémentaires, pour un total de 140 km.

Une première tranche de travaux portera sur la réalisation d’un chemin entre Charleville-Mézières et Rémilly-Aillicourt avec l’aménagement de 3 ouvrages d’art (ponts de Flize, Ballastière de Nouvion-Sur-Meuse et de la Bar).

Ces travaux débuteront cet été et s’achèveront en septembre 2015. Un projet porté par le Conseil général des Ardennes qui contribue aux travaux de cette première tranche à hauteur de plus de 6,7 millions d’euros (HT).
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la Voie verte. Depuis plusieurs années, les utilisateurs de la Voie verte sont obligés d’emprunter la route départementale 46 da, pentue et très fréquentée par les véhicules, pour relier Ham-sur-Meuse à Chooz. Le Département s’est engagé à prendre en charge à hauteur de 300 000 euros (soit 25 % du coût total) la maîtrise d’ouvrage et l’aménagement d’une prolongation en rive droite de la Meuse de la Voie verte entre les deux communes. Un tracé a été déterminé de façon à limiter le coût des travaux et le passage par des propriétés privées. Les propriétaires ont été avertis et deux avaient répondu favorablement. Le troisième rachat a été entériné lors du conseil de communauté qui s’est tenu mercredi soir. «  Petit à petit, on se construit une réserve foncière pour faire passer la Voie verte  », se réjouit le président, Bernard Dekens.

129.070 € pour des travaux de confortement de la falaise de l’Hermitage à Bogny-sur-Meuse

Nul n’ignore l’intérêt pour les riverains et les touristes de l’aménagement de la voie verte, longeant la Meuse, sur toute la traversée du département. Comme pour de multiples autres dossiers (desserte ferroviaire, développement économique, formation des demandeurs d’emploi, enseignement supérieur….), le Conseil régional apporte à cette opération une aide déterminante, sans laquelle elle n’aurait jamais pu voir le jour.

La dernière opération en date concerne les travaux de sécurisation de la barre rocheuse de l’Hermitage qui surplombe cette voie à Bogny-sur-Meuse. Lors de la commission permanente du 7 juillet dernier, le Conseil régional a attribué une somme de 129.070 € à la commune pour des travaux de confortement de cette roche qui s’avère dangereuse et susceptible d’éboulement. Ainsi tout risque pour les promeneurs sera supprimé.

Une preuve supplémentaire, selon Jean-Paul BACHY, Président du Conseil régional, de l’appui qu’apporte l’institution régionale au département des Ardennes et au bien-être de ses habitants et à son développement touristique.


Châlons-en-Champagne, le 22 juillet 2014

REVIN (08). Des riverains constatent quotidiennement que des automobiles empruntent la voie verte et y circulent à une allure soutenue. Ils sont excédés par ces comportements.

Ah la voie verte ! Sa nature, son air pur, le doux gazouillis des oiseaux, la quiétude des promenades champêtres en bord de Meuse et… ses voitures. L’accès à ce chemin long de 85 kilomètres qui relie Charleville-Mézières à Givet se fait aisément en automobile. Bien sûr, barrières en bois et panneaux en interdisent l’accès de-ci de-là. Mais ça n’empêche pas certains véhicules motorisés d’emprunter sans complexe (et sans autorisation) cette voie pourtant réservée aux cyclistes et promeneurs. Entre Revin et Fumay, des automobilistes l’utilisent quotidiennement. Certains ont le droit de circuler sur le chemin (riverains, jardiniers, etc.) S’il est difficile de déterminer quelle voiture est autorisée ou non, une chose semble en revanche faire l’unanimité : la vitesse excessive. Des riverains s’insurgent.

«  Durant la journée, il n’y a quasiment que Vnf (Voies navigables de France) ou la police municipale qui y circulent, mais le soir et les week-ends, il y passe beaucoup de véhicules qui n’ont rien à y faire. Ils roulent d’ailleurs assez vite  », témoigne Fabrice Renaux, un Revinois qui habite depuis 7 ans à proximité de l’écluse. «  Des fois les voitures arrivent à fond la caisse et nous sommes obligés de sauter sur le côté  », raconte un promeneur.

Même constat à Fumay, Jean-Marc Strassiaux est excédé par le comportement de certains usagers. «  La vitesse n’est pas respectée. Je suis témoin tous les jours de l’incivilité des conducteurs de voiture.  » Le Fumacien assure que de plus en plus de véhicules motorisés empruntent le chemin. «  Ça dépend des jours, mais en moyenne c’est entre 30 et 50 véhicules quotidiens. La voie verte, c’est l’autoroute !  » Pourtant ces riverains ne regrettent pas l’ancien chemin de halage parsemé de trous naturels remplis d’eau, même si peu de voitures l’utilisaient alors. «  La voie verte est une chose formidable, mais il faut respecter la limitation de vitesse et les interdictions  », disent-ils. Avec environ 300 personnes qui passent devant chez lui chaque jour en période estivale, Jean-Marc Strassiaux est inquiet : «  On attend quoi ? Qu’un enfant soit tué ?  »

Pourtant le conseil général affirme que la signalisation est renforcée dans les zones où les véhicules sont autorisés à circuler. Faudra-t-il installer des radars automatiques sur la voie verte pour que certains automobilistes fassent preuve de bon sens et adapte leur allure ?

Sur le net, les réactions fusent quant à la présence des voitures

« Il n’y a pas de problèmes sur la voie verte, il y a simplement des gens qui se croient tous permis ! », Jean Claude Dugimont. « (…) Et s’il y avait des contrôles pour limiter les abus ? À Laifour, par exemple, en été c’est une vraie autoroute des vacances ! », Sylvain Sagonero. « Une voie verte est interdite à la circulation auto, ou alors ce n’est pas une voie verte », Gérard Barré.

Passage obligé de la voie verte Trans-Ardennes, le tunnel de Revin est actuellement fermé pour les besoins du chantier. Une déviation a été mise en place à partir de l’écluse d’Orzy. Les usagers

Faire de la Meuse un atout, c'est l'objectif de la ville de Charleville-Mézières. Lors du dernier conseil municipal, les élus doivent voter le lancement d'études pour aménager les bords de la Meuse.

La majorité veut rendre les abords du fleuve plus attractifs, en y développant notamment les transports doux comme le vélo. L'opposition estime que le projet ne va pas assez loin.

La piste cyclable de 85 kilomètres de long (voie verte) longe la Meuse de Givet à Charleville-Mézières. Mais à l'entrée du chef lieu, elle s'interrompt, faute d'aménagement. Dans la préfecture, les abords du fleuve ne sont pas toujours mis en valeur. Et la qualité de vie dans le secteur suscite des commentaires divergents. 


Pour rendre la Meuse plus attractive, la municipalité compte bien s'inspirer de la voie verte. A travers toute la ville, 12 kilomètres vont faire l'objet de travaux, pour un coût de 30 millions d'euros.

Ce projet est certes positif mais ne va pas assez loin pour les Ecologistes qui déplorent le manque d'infrastructures pour les transports doux, notamment sur les grands axes de l'agglomération.

Quelques pistes cyclables ont tout de même vu le jour récemment, comme près de la gare. Mais il y a encore du chemin pour que les deux roues se fassent une place dans les rues de Charleville-Mézières.

Revin et ses lieux insolites chargés d’histoire et de légende

La voie verte, si empruntée qu’elle soit par les touristes et les Ardennais, contourne la boucle de la Meuse à Revin via le tunnel. Par conséquent, les promeneurs ne prennent pas forcément le temps de pénétrer en ville et d’y découvrir ses trésors cachés et pourtant des lieux insolites, chargés d’histoire et de légende, valent le coup d’œil.

1 Le blockhaus de Fallières

Construit par les français en 1939-1940 à flanc de montagne, ce petit ouvrage fortifié n’a jamais été armé. «  Il pouvait accueillir jusqu’à 4 hommes son objectif était de surveiller le chemin de Fallières afin de signaler et retarder les ennemis  », indique Hubert Brodier de l’association Revin rando patrimoine. Depuis la fin de la Seconde Guerre, il a servi entre autres à des entraînements pour les sapeurs-pompiers. Partiellement recouvert de végétation, il se situe sur la gauche au début du chemin de Fallières non loin du pont Saint-Nicolas.

2 La source du Moulin de la pile

Nichée dans un virage de l’étroite et sinueuse route séparant Revin d’Anchamps, une source dévale le long de la roche. Ce petit cours d’eau alimentait jadis le Moulin de la Pile, détruit en 1882. Le spectacle est fascinant.

3 Le trou Godin

Sans doute l’un des endroits les plus époustouflants de Revin mais l’un des plus difficile à atteindre. Mieux vaut avoir de bonnes jambes. Le trou Godin (le nom est incertain), âgé de plusieurs siècles, a pour origine une prospection dans la paroi rocheuse. Il se trouve au détour d’un petit sentier escarpé surplombant la maison au milieu de Fallières. «  Il provient de la recherche de schistes ardoisiers. À l’époque, les gens étaient très pauvres et cherchaient de l’ardoise en creusant la roche. Il y a d’autres trous similaires le long du ruisseau en contrebas, ils s’étendent jusqu’au Plateau », raconte Edmond Szelong, passionné d’histoire. Nul ne sait précisément quand cette percée a été réalisée, probablement au XVIII e  siècle. L’imposante cavité, faite dans cette roche poreuse, laisse inexorablement l’eau s’infiltrer. Elle se remplit à chaque averse. «  Les enfants étaient jadis chargés de le vider tous les matins à l’aide de sceaux.  » Selon la légende, un chariot et son attelage entier ont chuté à l’intérieur. Chevaux et cocher ont trépassé, se fracassant sur la pierre. D’aucuns pensent que le spectre du malheureux hante depuis cette excavation maudite et qu’il est possible de l’apercevoir à la nuit tombée…

4 Le lavoir de la minière

D’extérieur, il ne paie pas de mine, une bâtisse de piètre qualité le masque à la vue des promeneurs. Le lavoir de la minière a été construit durant l’entre-deux-guerres en 1929 précisément, à proximité des ruines d’une exploitation de minerai «  Le quartier de Sartnizon n’était pas très urbanisé à l’époque. Et il fallait que chacun puisse laver son linge. D’où la construction de cet équipement  », renseigne François Lorent, historien local. L’endroit, laissé à l’abandon depuis des décennies, offre un aperçu d’autrefois, vestige d’un aménagement devenu obsolète avec l’arrivée de l’eau courante.

Le voyage s’arrête ici, mais il ne s’agit là que d’un aperçu des joyaux secrets revinois, à découvrir ou redécouvrir sans modération pour le plaisir des yeux.

Jean-Godefroy Varoquaux

" Avec plus de 245.000 utilisateurs annuels et des retombées économiques estimées entre 10,6 et 11,8 millions d’euros, la Voie Verte Trans-Ardennes confirme son rôle de locomotive de l’économie touristique de notre département " souligne le CD08.

Sur les quelques 11 millions de retombées économiques environ 4 millions sont consacrés à l’hébergement et autant à la restauration….

Le système de comptage (Pour permettre d’estimer la fréquentation de la Voie verte, 5 compteurs ont été installés le long de l’itinéraire, à Montcy-Notre-Dame (point de départ historique), Bogny-sur-Meuse, Haybes, Givet et, depuis janvier 2016, à Glaire) mis en place a permis d’évaluer la fréquentation sur la Voie verte.

Ainsi, entre le 1er novembre 2015 et le 31 octobre 2016, 245.374 personnes ont été recensées.

Cette évaluation a été complétée en 2016 par une étude qualitative menée grâce à une enquête auprès de plus de 1.000 utilisateurs rencontrés sur la Voie verte.

Grâce aux informations recueillies, il est possible d’établir le profil de l’utilisateur de la Voie verte :

64,2% sont Ardennais, 18,3% proviennent d’un autre département, tandis que 17,5% sont d’origine étrangère. Avec 52,4%, le cyclisme reste la première activité pratiquée sur la Voie verte, 29,4% pratiquent la marche à pied et enfin 11,6% utilisent la Voie verte pour du footing

Enfin 98,4% des utilisateurs se disent satisfaits de leur passage sur la Voie verte.