voie verte entre Cysoing et Ascq
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voie verte entre Cysoing et Ascq
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Villeneuve_d_Ascq/actualite/Autour_de_Villeneuve_d_Ascq/Pevele_Melantois/2012/04/18/article_quartier-du-peuville-la-securite-et-l-am.shtml
On retiendra la mise à l'étude d'une piste cyclable et d'une voie verte entre Cysoing et Genech
Une ancienne ligne de chemin de fer du Nord va renaître dans 3 ans (Ascq-Orchies)
4 juillet 2019
http://www.jeveuxsauverlaplanete.fr/index.php/articles-ecolos/voiture-ecologique-gpl/155-une-ancienne-ligne-de-chemin-de-fer-du-nord-va-renaitre-dans-3-ans-ascq-orchies
http://www.jeveuxsauverlaplanete.fr/index.php/articles-ecolos/voiture-ecologique-gpl/155-une-ancienne-ligne-de-chemin-de-fer-du-nord-va-renaitre-dans-3-ans-ascq-orchies
si la ligne Ascq-Orchies devenait la toute première véloroute des Hauts-de-France ?
https://www.lavoixdunord.fr/639774/article/2019-09-19/et-si-la-ligne-ascq-orchies-devenait-la-toute-premiere-veloroute-des-hauts-de
Depuis deux ans, le Nomainois Géry Lemaire réfléchit à l’opportunité de transformer la ligne SNCF Ascq-Orchies en super piste cyclable et tente de convaincre autour de lui de l’intérêt de son projet de « véloroute de la Pévèle ». En cette Semaine de la mobilité, rencontre avec un citoyen pas si farfelu qu’il n’y paraît.
Géry Lemaire travaille depuis deux ans à imaginer à quoi pourrait ressembler la véloroute de la Pévèle qui longerait notamment la gare d’Ouvignies, actuellement en proie aux herbes folles.
C’est quoi ce projet de véloroute de la Pévèle ?
« Je l’ai baptisé La Tousàvélo. Il s’agirait de transformer la ligne SNCF Ascq-Orchies, aujourd’hui désaffectée, en super-voie verte dédiée aux cyclistes. Pour les salariés, les élèves, les sportifs, les promeneurs. La ligne est fermée depuis juin 2015, on nous dit qu’elle pourrait rouvrir, il y a eu une pétition, mais quand ? Et à quel coût ? Personnellement, je n’y crois plus. Une réouverture pourrait intéresser à Cysoing et Chereng mais à part ça ? À Orchies, les gens prennent déjà le TER. Moi, je milite en faveur d’un projet novateur : créer la toute première véloroute des Hauts-de-France qui relieraient Orchies à Villeneuve-d’Ascq. On retire les rails et on pose un revêtement avec la possibilité d’aménager des parkings relais. Le potentiel d’utilisation est énorme en semaine, le week-end et pendant les vacances. Ce serait une solution bénéfique pour la planète, les usagers et les finances publiques. J’emprunte actuellement un trajet à vélo parallèle que j’ai imaginé en espérant la concrétisation du projet. »
De quel potentiel parlez-vous ?
« Si on s’en tient au tracé de la ligne de chemin de fer, que j’ai fait à pied, la véloroute passe à proximité du lycée agricole de Genech et de Charlotte-Perriand. Soit 3 à 4 000 utilisateurs potentiels. Ça pourrait intéresser un tas d’élèves, qui sont au cœur de mon projet. J’aimerais pouvoir le leur présenter. Sensibiliser les plus jeunes fera évoluer les mentalités. Des salariés qui travaillent en métropole pourraient aussi l’utiliser. Quand on voit la galère le matin à Orchies à l’entrée de l’A 23… Le tracé de la véloroute, champêtre, pourrait devenir un atout de développement touristique pour les communes traversées. Pourquoi ne pas aménager une guinguette le long du tracé ? »
Ne craignez-vous pas de passer pour un doux rêveur ?
« Je crains surtout qu’on soit arrivé au bout du tout pétrole. Il y a une prise de conscience en faveur des nouveaux modes de déplacement et de consommation. Je le vois lors des repair café que j’organise à Nomain. La véloroute peut devenir une véritable alternative à la voiture à condition de disposer d’infrastructures qui permettent de rouler en toute sécurité. Ça marche à l’étranger, pourquoi pas chez nous ? L’émergence du vélo électrique – dont l’achat est financé par l’intercommunalité ou des villes comme Orchies –, rend ce mode de transport accessible. Et c’est bon pour la santé. Je ne fais pas de politique, je veux juste nourrir la réflexion, notamment sur les réseaux sociaux. Il est temps d’agir ».
« Le vélo, ça implique de s’organiser différemment, en sacrifiant un peu de confort et de liberté »
Collègue de Géry Lemaire depuis six mois maintenant, la Coutichoise Carole Joveniaux est elle aussi convaincue de la nécessité de changer ses habitudes pour le bien commun et celui de l’environnement. Il y a quelques jours, Géry lui a proposé de partir travailler à vélo jusqu’à Lezennes où sont situés leurs bureaux. Elle a accepté sans ciller. « Je voulais me rendre compte de ce que ça impliquait concrètement, dit Carole, qui inscrit cette première dans une démarche globale. Je fais partie du collectif Zéro déchet de la Pévèle, j’achète en vrac, je consomme local et j’ai décidé de ne pas acheter de vêtements neufs cette année… On a mis une heure pour effectuer les 20 km qui nous séparent du bureau. Je me suis fait prêter un vélo électrique, du coup c’est plus facile et on n’a pas nécessairement besoin de se doucher en arrivant, même si c’est possible chez nous. Il y a deux douches pour mille salariés mais c’est un bon début ».
Carole, qui vivait à Lille avant de s’installer à Coutiches il y a trois ans, raconte avoir pris le virage des déplacements alternatifs il y a 18 mois environ. « En ville, il y a le tram, le métro… À la campagne, la voiture est vite une nécessité mais on peut apprendre à s’en passer. Même si on remplace une voiture diesel par une électrique, ça fera toujours autant de véhicules sur la route… Je covoiture avec mon conjoint deux fois par semaine même si ça peut être contraignant si l’un finit plus tôt ou que l’autre comptait faire des courses. Je retournerai travailler à vélo. C’était plaisant et ça fait du bien. Le vélo, ça implique de s’organiser différemment, en sacrifiant un peu de confort et de liberté. Il faut savoir s’imposer les choses sinon la nature le fera pour nous. »
Orchies-Ascq : Et pourquoi pas une vélo route ?
https://www.lobservateur.fr/douaisis/orchies/2019/10/28/orchies-ascq-et-pourquoi-pas-une-velo-route/
ertains le diront idéaliste, d’autres le croiront partisan écologique. Mais Géry Lemaire n’est rien de tout ça. « La première chose à dire, c’est que je ne suis pas du tout contre le train, confie le Nomainois, et que je tiens énormément à cette ligne qui fait partie de ma vie. »
Se rappelant aux souvenirs de la micheline rouge diesel qui traversait les communes, celui qui travaille désormais au Leroy-Merlin de Villeneuve d’Ascq se souvient surtout du peu de monde qu’elle transportait. « Si c’était une telle évidence de la fermer il y a cinq ans, je vois mal comment cela pourrait être différent aujourd’hui. »
Face aux volontés de désengorger l’A23 et de limiter la surfréquentation des trains en direction de Lille, il avance le manque d’attractivité d’une éventuelle ligne, même prolongée jusqu’à Pont-de-Bois. « On va quand même beaucoup vers l’est du territoire, avec nécessité de reprendre le métro ensuite. Et puis se pose aussi le choix des gares, qui ne drainent pas énormément de monde. »
Une voie verte dans un cadre remarquable
Traversant la Pévèle dans ce qu’elle a de plus verdoyant et bucolique, la ligne Ascq-Orchies traverse un cadre idéal pour développer un mode de transport basé sur le vélo. « Cela existe déjà en Finlande, où il y a carrément des autoroutes à vélo, ou aux Pays-Bas. Les pays du nord ont un tout autre rapport au vélo que le nôtre. Il suffit de s’en inspirer. »
La voie verte constituerait le premier équipement d’envergure de ce type dans les Hauts-de-France. Géry la voit comme l’épine dorsale sur laquelle d’autres pistes cyclables pourraient venir se greffer. « Il faut anticiper l’avenir et des ressources qui ne sont pas éternelles en faisant entrer le vélo dans nos habitudes de circulation. »
Située à l’écart des routes et des voitures, la ligne permet un haut niveau de sécurité qui est souvent la première préoccupation des cyclistes. Reste à trouver le public susceptible d’emprunter la future véloroute.
Mobiliser les lycéens
Plus qu’un simple circuit pour promeneurs du dimanche, la véloroute pourrait intéresser les salariés qui souhaitent se rendre sur la Métropole, mais aussi les plus jeunes.
Géry ira donc présenter son projet aux lycéens, notamment ceux de l’Institut de Genech ou du lycée Charlotte-Perriand, qui sont les plus concernés pour essayer de les mobiliser. « S’ils sont emballés par le projet, cela pourra lui donner du poids. »
Il compte aussi parcourir la quinzaine de kilomètres de la ligne à pied avec des responsables politiques du territoire interpelé par l’idée. « Cette véloroute coûterait bien moins que ce qui est annoncé pour la remise en service. On parle de plus de 30 millions d’euros, c’est une somme qui pourraient être investi dans la rénovation des lignes existantes. »
Une mise à contribution de l’Union européenne pourrait aussi être envisagée pour alléger encore la note et mettre la Tousavélo sur de bons rails…
Re: voie verte entre Cysoing et Ascq
Yop
Le tracé le cette ligne passe tout près du site de la "Bataille de Bouvines" (27 juillet 1214).
BàTous
Le tracé le cette ligne passe tout près du site de la "Bataille de Bouvines" (27 juillet 1214).
BàTous
La ligne Ascq – Orchies espérée pour 2026
https://www.lobservateur.fr/douaisis/orchies-et-alentours/2021/01/30/la-ligne-ascq-orchies-esperee-pour-2026/
Le bus à haut niveau de service semble être la meilleure option pour protéger l’environnement. Il permettrait de désengorger les axes allant et venant de Lille. Cette nouvelle ligne pourrait être opérationnelle pour 2026.
La SNCF a arrêté cette ligne le 28 juin 2015, un tronçon de 19 km de voie unique parcouru durant de nombreuses décennies par des trains TER. Personne n’avait montré son courroux à l’époque.
Depuis, on s’est vite rendu compte que pour aller à Lille, l’A23 sature chaque jour le matin en venant d’Orchies et le soir à partir de Villeneuve d’Ascq en direction de Valenciennes. Le constat de la circulation routière dans le sud de Lille est alarmant : chaque jour des axes routiers saturés, une pollution atmosphérique omniprésente, des temps de trajet de plus en plus longs.
Si bien que l’idée de faire renaitre le train sur cette ligne était envisagée un temps, encouragée par de nombreuses pétitions organisées par les 9 mairies concernées et les associations. Le coût total du projet était estimé à 33 millions d’euros, on avait eu un engagement ferme du conseil régional en 2017, qui avait validé sa participation à hauteur de 16,8 millions d’euros, la participation de la Métropole de Lille était de 5 millions d’euros, il restait à connaître le montant, que la SNCF et les communautés de communes concernées, allaient accorder à ce grand projet.
On parlait même alors de la ligne Orchies-Ascq-Pont-de-bois. Le projet a été abandonné en 2020 à cause des passages à niveau : un décret de février 2015 stipule qu’il faut tous les supprimer en cas de remise en service d’une ligne SNCF qui n’a pas été utilisée depuis cinq ans, un surcoût entre 70 et 100 millions d’euros. Ce fut donc l’adieu au train.
Un comité de pilotage a émis plusieurs hypothèses. « En 2020 on a retenu deux hypothèses le tram-train et la ligne de bus à haut niveau de service, des projets qui vont coûter entre 80 et 240 millions d’euros selon l’option, je suis impatient mais respectueux des financeurs il faut être efficace et tenir compte des demandes et développer un service adapté aux besoins de transports en commun de notre territoire », souligne Luc Foutry qui est aussi président de la commission transports grandes infrastructures à la Région.
Le bus à haut niveau de service, moins cher, semble l’option qui a la préférence du cabinet Transamo, en charge de l’étude. L’idée est de faire circuler des bus sur l’emprise de la voie ferrée jusque Tressin. Puis les cars circuleront, mais sur une voie réservée le long de l’ancienne route de Tournai, jusqu’à la sortie d’Anstaing, d’où une nouvelle route serait créée pour rejoindre La Haute-Borne. La ligne desservirait le parc technologique jusqu’au pied du métro Quatre-Cantons.
À Genech, opération désherbage des partisans d’une véloroute sur la ligne Ascq-Orchies
https://www.lavoixdunord.fr/1307859/article/2023-03-25/genech-operation-desherbage-des-partisans-d-une-veloroute-sur-la-ligne-ascq?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox_va_seclin&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1vqAH7L01hMT_b5p7-P0TOv7OKO7_MdKOoXBVl_oqfR5UoEbUuN8nv3-M#Echobox=1679768595
L’association La Tous à vélo a mené une opération « coup de poing » ce samedi, sur la voie ferrée. Un désherbage avec tronçonneuses et coupe-branche, pour défendre leur idée d’une voie réservée à la mobilité douce sur l’emprise de la ligne SNCF qui ne voit plus passer de trains depuis bientôt 8 ans.
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