RAVeL L141 Seneffe - Court-Saint-Etienne

acpfr a écrit:Un deuxième poteau pour réparer un vélo à Bousval rue de la forge, le premier a été installé à la gare de Genappe
https://www.tvcom.be/video/info/mobilite/un-nouveau-poteau-pour-reparer-les-velos-installe-le-long-du-ravel-a-bousval_30760.html

joverwimp a écrit:Je préfère emporter les ustensiles essentiels, ainsi je peux me débrouiller n'importe où. Tout cela ne pèse que 400g et m'a coûté 10 euro.

Publié le 15 juillet 2022 à 09:41VEN 15/07/2022 - 09:41


Durant les cinq dernières années, des travaux ont été entrepris en vue de remettre à neuf le revêtement du RAVeL du Canal Charleroi-Bruxelles historique entre le Pont de l'Origine à Seneffe, Arquennes et Ronquières.

Coût total de ces travaux menés sous la conduite de la Direction des Voies hydrauliques de Charleroi et du District de Braine-le-Comte ? 2.463.000 €.

Depuis quelques jours, le RAVeL du Canal Charleroi-Bruxelles historique est également pourvu d'une toute nouvelle signalisation directionnelle sur les 15 km de son tracé.

Cette signalisation offre aux cyclistes, qui parcourent l'itinéraire régional W3, le choix de deux variantes entre Ronquières et le Pont de Soudromont à Seneffe :

soit emprunter le Canal Charleroi-Bruxelles à grand gabarit comme prévu jusqu'à présent,
soit suivre la nouvelle signalisation le long du Canal Charleroi-Bruxelles historique.

L'ensemble de ces travaux sur le Canal Charleroi-Bruxelles historique s'inscrit dans un modèle de collaboration qui doit servir d'exemple pour la gestion d'autres infrastructures en Wallonie.

Dans un environnement naturel unique et doté d'un patrimoine hydraulique très riche, le RAVeL du Canal Charleroi-Bruxelles historique vous fera découvrir de biens belles surprises et rencontres cet été.

Ravélo Rando a écrit:Installation de la première partie de la Passerelle cyclo-piétonne d’Arquennes passant au dessus de l'ancien canal ce lundi 19 septembre !

joverwimp a écrit:praticable dès le 19 septembre ?

La circulation est interdite, pour les piétons et les cyclistes, sur le RAVeL, sur le tronçon compris entre la rue des Combattants et le parking Saint-Roch jusqu'au 31 mars.
Circulation/stationnement
La circulation est interdite, pour les piétons et les cyclistes, sur le RAVeL, sur le tronçon compris entre la rue des Combattants et le parking Saint-Roch.

Déviation
Les piétons et cyclistes venant de la rue des Combattants sont déviés vers la rue Henri Pauwels > rue Joseph Wauters > Mont-Saint- Roch > parking Saint-Roch (RAVeL - en direction de Genappe).

Les piétons et cyclistes venant du RAVeL (parking Saint-Roch) sont déviés vers le Mont-Saint-Roch > rue Joseph Wauters> rue Henri Pauwels> RAVeL (en direction de Seneffe).

Ravélo Rando a écrit:Bonjour à toutes et tous.

La fort belle passerelle de la L141 qui enjambe l'ancien canal est bientôt finie.
Super, on pourrait s'en réjouir.
On pourrait car il y a un blème !!!! Un riverain occupe une partie de la L141 et pourrait interdire le passage et donc interdire d'utiliser la passerelle.

Sur ce, il semblerait que ce litige de parcelle se situe à la hauteur de l'ancienne gare de Feluy/Arquennes et qu'un itinéraire bis pourrait être mis en place afin de pouvoir, quand même, utiliser la passerelle…

Concernat le litige, la SNCB va à présent faire valoir ses droits devant la justice.

A écouter ici à 1:25:30 : https://www.deliberations.be/seneffe/seances?fbclid=IwAR3XUavXUYjX184jHdDrhOOXTWsFMXpQumyjXv_OitVJZJgOsh-ZoiNaUSc#seance=c3b6a5215def44c19d687be28941ac95&b_start=0

joverwimp a écrit:La passerelle est-elle praticable ?  

joverwimp a écrit:Suite aux travaux

joverwimp a écrit:J'étais présent lors de l'ouverture officielle du pré-ravel, de Nivelles à Arquennes, il y a plusieurs années. Le bourgemestre de Nivelles remerciait Flahaut, ministre de la défense à l'époque, pour les bons  services de l'armée. Le génie avait construit le pont sur la N533, la ville avait fourni les matériaux.
   
Entretemps il apparaît que la ville n'a pas choisi un bois durable. Il commence à pourrir...

Depuis de longs mois, la passerelle d’Arquennes fait couler beaucoup d’encre. L’édifice doit à terme permettre de relier à vélo et autres moyens de locomotion à vocation de mobilité douce, les villages de Seneffe et d’Arquennes voire, plus loin, Nivelles. Or, même si la passerelle en elle-même est placée depuis belle lurette, elle n’est toujours pas accessible. En cause, le conflit entre la SNCB et la commune d’une part, un riverain de l’autre. Ce dernier estime qu’il occupe une portion de terrain que traversera le futur sentier du Ravel. Durant la séance du dernier conseil communal, les conseillers Eric Jenet (AC) et Michel Charlier (LB) se sont inquiétés de la situation qui perdure. “Des citoyens nous ont également signalé que l’absence de contrôle social vu l’interdiction d’accès en raison des procédures judiciaires en cours a conduit à des nuisances sonores, car ce serait devenu une zone de réunion de personnes en soirée avec musique…”, s’est notamment inquiété Eric Jenet. Nicolas Dujardin a refait le point sur ce dossier épineux, annonçant même une bonne nouvelle. “Nous venons d’avoir la confirmation que la procédure en pétitoire de la SNCB avait débuté”, a expliqué l’échevin de la Mobilité douce. “Cette action suit celle en possessoire dont les résultats ne nous ont été donnés que 3,5 ans après le début de la procédure en justice de paix.” La première audience devant le tribunal de première instance de Charleroi s’est déroulée le 20 septembre. “Elle devait fixer le calendrier des débats concernant la propriété dudit terrain et, in fine, son accessibilité et le début des travaux.” Des travaux qui auront coûté au total 727 000 euros avec un subside wallon de 100 000 euros et qui a dû être revu légèrement à la hausse suite à la flambée des prix des matériaux. “Il reste encore des travaux à effectuer au niveau de l’éclairage dont la phase test a démontré récemment qu’il n’était pas aux normes du cahier des charges. L’accessibilité au site à la fois en amont et en aval du site doit encore être terminée de même que des aménagements de sécurisation. Concernant les nuisances subies par le voisinage, il n’y a pas d’autres solutions que de prévenir la police lorsqu’elles surviennent.

La saga de la passerelle se poursuit. Une nouvelle étape vient d’être franchie : la SNCB a entrepris une action en justice visant à récupérer son terrain qu’occupe un privé et sur lequel devrait passer le Ravel Arquennes-Seneffe.

Cette belle passerelle à 700.000 euros enjambe l’ancien canal Bruxelles-Charleroi sur lequel elle offre un superbe panorama. D’un côté : le Ravel venant de Nivelles dont le dernier tronçon a été récemment macadamisé. De l’autre : la jungle.

Il y a quelques mois, nous vous avions présenté cette situation presque ubuesque : le propriétaire privé de l’ancienne gare de Feluy occupe le terrain de la SNCB sur lequel doit passer le Ravel et il n’entend pas le rendre à son propriétaire légitime. Une première action, dite possessoire, a été menée devant la justice de Paix.

« L'action au possessoire, détaille l’échevin de la Mobilité douce, Nicolas Dujardin, visait à identifier, à faire reconnaître finalement la possession des parcelles qui sont ici contestées et sont normalement vouées à la création du Ravel. Et donc, cette action a donné raison au propriétaire de la gare de Feluy. Mais c'était surtout une condition sine qua non pour pouvoir ensuite faire l'action au pétitoire. »


Après le possessoire, le pétitoire, donc. L’action en justice vise à remettre le terrain à son propriétaire, la SNCB.

« Ici, il s’agit de reconnaître le droit de propriété de la SNCB sur ses parcelles et donc de pouvoir in fine, une fois qu'une décision aura été rendue, de pouvoir débuter les aménagements et finaliser les aménagements tels qu'ils ont été réalisés de l'autre côté de la parcelle. C'est un chantier qui est justement en voie de finalisation. »

Selon l’échevin seneffois, nous sommes partis jusqu’à l’été avant que la justice ne se prononce. En attendant, l’aménagement au-delà de la zone contestée devrait se poursuivre. On évoque 2025 pour que le Ravel Nivelles- Arquennes -Seneffe via sa belle passerelle soit mis en service.

"Parvenir à concilier les différentes manières d’utiliser le réseau Ravel n’est pas toujours évident, et la police ne peut pas être partout…"

Ce n’est pas la première fois que le sujet est abordé lors d’un conseil de police de la zone Nivelles-Genappe: le réseau Ravel, qui relie et traverse les deux communes, est un succès en termes d’utilisation. Mais régulièrement, des promeneurs pointent le comportement d’autres usagers, principalement les cyclistes roulant à plusieurs, qui foncent à toute allure et se montrent agressifs envers ceux qui pourraient les ralentir. Laurie Semaille (MR) a demandé mardi soir quelle action peut mener la police dans ce domaine, sachant qu’il est régulier que des piétons se fassent hurler dessus par certains "sportifs" qui se croient sur un vélodrome. Le commissaire divisionnaire Pascal Neyman a précisé qu’il existe une vitesse maximale sur le Ravel: elle est fixée à 30 km/h. Et le service de prévention de la police Nivelles-Genappe y va faire un tour régulièrement, puisque des agents patrouillent aussi à vélo dans la zone. Mais ils ne sont évidemment pas sur le Ravel en permanence… Un temps, on avait évoqué le placement, en collaboration avec la Région wallonne, de radars préventifs fixes le long de ce Ravel. Les cyclistes auraient pu voir à quelle vitesse ils filent au milieu des gens qui se baladent avec des enfants ou des chiens. Mais le projet n’a finalement pas abouti. Ce qui est envisagé aujourd’hui, ce sont des affiches à apposer aux entrées principales de ce qui doit rester un réseau de voies lentes. On y rappellera notamment la limitation de vitesse à 30 km/h. Mais pour le chef de zone, qui fait un parallèle avec la situation sur la RN25 où des tracteurs peuvent circuler en même temps que des voitures roulant à 120km/h, ce seuil légal est déjà fort élevé vu la différence de vitesse entre un marcheur et un cycliste. Pour lui, une limite fixée à 10 ou 15 km/h serait plus pertinente. Selon Pascal Rigot (Écolo), ce n’est pas qu’à la vitesse excessive qu’il faut sensibiliser les utilisateurs du Ravel, mais à la cohabitation en général. Ce dont a convenu Louison Renault (PluS): il n’est pas rare non plus que les cyclistes utilisant une sonnette pour ne pas insécuriser les piétons se fassent houspiller par ceux-ci. Ni que les propriétaires de chiens "oublient" l’utilisation de la laisse. "La bande en graviers aménagée pour les joggeurs est aussi jonchée de déjections canines"

Interpellée par le député André Antoine sur les problèmes de cohabitation entre usagers du RAVeL, la ministre De Bue va commander une étude.

Nous avons relayé plus d’une fois les préoccupations de certains usagers du réseau RAVeL, à Genappe et à Nivelles, qui se retrouvent confrontés à des cyclistes roulant très rapidement et en groupe. Pour les simples promeneurs, parfois avec des enfants ou des animaux, être frôlés pour des sportifs qui se pensent sur un vélodrome n’est pas très sécurisant. D’autant que certains se montrent assez agressifs lorsqu’ils sont ralentis dans leur course… Lors du dernier conseil de police de la zone Nivelles-Genappe, la question avait à nouveau été abordée et il avait été rappelé qu’il existe une vitesse maximale sur le RAVeL : elle est fixée à 30 km/h. Le commissaire divisionnaire Pascal Neyman, exprimant un avis personnel, avait jugé ce seuil déjà très élevé compte tenu de la différence d’allure importante entre des marcheurs, parfois des personnes à mobilité réduite, et des cyclistes fonçant à 30 km/h. Cette semaine, en commission du parlement wallon, le député André Antoine (Les Engagés) a interpellé sur le sujet la ministre en charge de la sécurité routière, Valérie De Bue (MR). Notamment pour savoir si l’expérience de radars préventifs avait été tentée, et s’il existe au niveau régional une stratégie pour assurer une meilleure cohabitation entre les différents usagers du réseau RAVeL. La ministre a confirmé que la question se posait bien ailleurs qu’à Nivelles ou à Genappe. Ainsi, en 2020 du côté de Thimister Clermont (pays de Herve), des relevés ont été réalisés durant un mois dans une longue descente. Près de 2 750 cyclistes sont passés devant un radar, et il est apparu que 56 d’entre deux seulement circulaient à plus de 30 km/h. Pour Valérie De Bue, c’est donc moins un problème de vitesse excessive qui se pose sur le RAVeL qu’un problème de partage de la route. Et cela vaut aussi pour les joggeurs qui courent avec leur musique dans les oreilles et n’entendent pas ce qui se passe autour d’eux, ou les maîtres de chien qui promènent leurs animaux sans les tenir en laisse. Plusieurs actions ont déjà été menées, par exemple en plaçant des panneaux appelant à la courtoisie sur le RAVeL, en diffusant des spots sur les réseaux sociaux, ou encore en distribuant des sonnettes aux cyclistes pour qu’ils avertissent les autres usagers de leur arrivée. En ce qui concerne l’éventuelle diminution de la vitesse maximum, la ministre a indiqué qu’elle allait demander à son administration d’étudier cette problématique, pour déterminer s’il serait intéressant de modifier – peut-être sur certains tronçons – le seuil actuel de 30 km/h. Tout en précisant que se posera alors la question du contrôle : les policiers ont déjà beaucoup d’autres missions à remplir et on ne peut pas imaginer un radar automatique, les vélos n’étant pas identifiables via une plaque d’immatriculation… En réponse, le député Antoine a estimé qu’une étude serait en tout cas bienvenue, certains utilisateurs perdant de vue que le RAVeL est un endroit de loisirs et pas un espace pour les courses cyclistes.

II.1.1) Intitulé: Pose et fourniture d’un marquage luminescent sur RAVeL - L141
II.1.4) Description succincte: Le présent marché a pour objet des travaux de marquage luminescent sur un tronçon du RAVeL L141. Tronçon situé de Court St. Etienne (du carrefour Avenue de Wisterzée) à Nivelles (Avenue de la Gare)