RAVeL L141 Seneffe - Court-Saint-Etienne

La Libre 15/02/2020 a écrit:Plus de nouvelle pour un chaînon manquant du parcours Ravel au pont de Baulers.
La semaine dernière, le collège communal aclot a donné son feu vert à Tuc Rail pour modifier un permis déjà obtenu et ainsi avancer dans la mise à quatre voies de la ligne de chemin de fer entre Nivelles et Lillois. Un petit coup de pouce pour faire avancer le projet RER, qui est très attendu en terre aclote comme ailleurs.
Par contre, l’échevin des Travaux et du Développement durable, Pascal Rigot, attend Tuc Rail sur un autre dossier, où il n’est plus question de train mais de liaison en mobilité douce. Il s’agit de l’aménagement du parcours Ravel du côté du Pont de la rue des Déportés. Pour l’instant, l’endroit constitue une sorte de chaînon manquant. Une fois le problème réglé, on pourrait alors rester sur le Ravel depuis Court-Saint-Étienne jusqu’à Seneffe.

L’aménagement d’une piste cyclable sur le pont du chemin de fer, au-dessus de la rue des Déportés donc, permettrait aux cyclistes de rejoindre la gare de Nivelles de manière directe mais rien n’avance alors que l’idée est dans l’air depuis des années.
De toute manière, la Ville privilégie une autre piste, plus sécurisante pour les usagers : que la liaison se fasse via le terrain acquis par le promoteur qui développe le futur quartier du Val de Thines, avec un parcours le long de la rivière qui, en plus d’être plus éloigné du passage des trains, serait sans doute plus agréable.
"Malheureusement, Tuc Rail a toujours refusé cette hypothèse, arguant du coût supplémentaire sans faire d’études comparatives entre la réfection du pont et le tracé le long des voies de chemin de fer, indique Pascal Rigot. Je demande que les responsables revoient rapidement leur position. Des contacts ont été pris ces dernières années mais n’ont pas été concrétisés de manière satisfaisante. J’estime que ces travaux sont d’utilité publique."

La Capitale Brabant Wallon 10 Juillet 2020 a écrit:
La ligne 141 reliant Nivelles à Court-Saint-Etienne fera également l’objet de travaux avec, dans un premier temps, l’asphaltage du pré-RAVeL entre Genappe et Bousval, soit un tronçon de 5 km. L’asphaltage du pré-RAVeL entre Seneffe et Arquennes, toujours sur cette même ligne 141, est prévu dans un second temps. Le tronçon concerné s’étend, cette fois, sur 4,5 km.

Nivelles, la cohabitation entre cyclistes et piétons sur le Ravel devient un réel soucis. De plus en plus de promeneurs se plaignent de certains cyclistes qui prennent cette voie pou une piste de vitesse. "Pour certains, c'est devenu une piste de course, de compétition, une piste olympique", témoigne un jeune cycliste.

a zone de police rappelle que le Ravel est soumis au code de la route et qu'il faut adapter sa vitesse en fonction des autres usagers. De plus, "tout le monde ne connaît pas le code de la route : comme ce cycliste qui vient de passer qui a les écouteurs, le smartphone en main", constate Marie-Thérèse Botte, conseillère de police à Nivelles. La zone de police Genappe-Nivelles annonce une campagne de sensibilisation pour l'usage du Ravel et n'exclut pas des contrôles.

La zone de police envisage une campagne de prévention pour rappeler les règles de bonne conduite.

Au conseil de police de la zone Nivelles-Genappe, cette semaine, Marie-Thérèse Botte a relayé les inquiétudes de certains utilisateurs du Ravel. Ce parcours en site propre et dédié à la mobilité douce a de nombreux adeptes, que ce soit le temps d’une promenade agréable ou pour une utilisation quotidienne en reliant Genappe à Nivelles, voire au-delà puisqu’on peut aller d’Arquennes à Court-Saint-Étienne à vélo par exemple.

Le problème, c’est que certains cyclistes ont tendance à confondre réseau Ravel et piste de course, et des promeneurs ou des familles frôlés à grande vitesse ne se sentent plus en sécurité. Pour la conseillère nivelloise, il faudrait rappeler les règles de base et l’utilisation de la sonnette…

Le commissaire divisionnaire Pascal Neyman a précisé, dans sa réponse, que la vitesse est limitée à 30 km/h sur le Ravel, ce qui reste assez élevé. Mais surtout, le code de la route y est d’application et exige d’adapter sa vitesse à l’environnement. Ce que ne font manifestement pas tous les cyclistes…

À présent que la zone de police Nivelles-Genappe dispose d’un service spécifiquement dédié à la prévention, un projet est en cours de réflexion pour mener certaines actions sur le Ravel. Une campagne de sensibilisation des utilisateurs est envisagée, avec de l’affichage mais aussi une présence sur le terrain pour faire passer le message.

velo-ravel.net a écrit:https://www.dhnet.be/regions/brabant/des-mesures-pour-un-ravel-plus-apaise-5f5bd4fb9978e2322fc9f336

La zone de police envisage une campagne de prévention pour rappeler les règles de bonne conduite.

Au conseil de police de la zone Nivelles-Genappe, cette semaine, Marie-Thérèse Botte a relayé les inquiétudes de certains utilisateurs du Ravel. Ce parcours en site propre et dédié à la mobilité douce a de nombreux adeptes, que ce soit le temps d’une promenade agréable ou pour une utilisation quotidienne en reliant Genappe à Nivelles, voire au-delà puisqu’on peut aller d’Arquennes à Court-Saint-Étienne à vélo par exemple.

Le problème, c’est que certains cyclistes ont tendance à confondre réseau Ravel et piste de course, et des promeneurs ou des familles frôlés à grande vitesse ne se sentent plus en sécurité. Pour la conseillère nivelloise, il faudrait rappeler les règles de base et l’utilisation de la sonnette…

Le commissaire divisionnaire Pascal Neyman a précisé, dans sa réponse, que la vitesse est limitée à 30 km/h sur le Ravel, ce qui reste assez élevé. Mais surtout, le code de la route y est d’application et exige d’adapter sa vitesse à l’environnement. Ce que ne font manifestement pas tous les cyclistes…

À présent que la zone de police Nivelles-Genappe dispose d’un service spécifiquement dédié à la prévention, un projet est en cours de réflexion pour mener certaines actions sur le Ravel. Une campagne de sensibilisation des utilisateurs est envisagée, avec de l’affichage mais aussi une présence sur le terrain pour faire passer le message.

Ravélo Rando a écrit:

velo-ravel.net a écrit:https://www.dhnet.be/regions/brabant/des-mesures-pour-un-ravel-plus-apaise-5f5bd4fb9978e2322fc9f336

La zone de police envisage une campagne de prévention pour rappeler les règles de bonne conduite.

Au conseil de police de la zone Nivelles-Genappe, cette semaine, Marie-Thérèse Botte a relayé les inquiétudes de certains utilisateurs du Ravel. Ce parcours en site propre et dédié à la mobilité douce a de nombreux adeptes, que ce soit le temps d’une promenade agréable ou pour une utilisation quotidienne en reliant Genappe à Nivelles, voire au-delà puisqu’on peut aller d’Arquennes à Court-Saint-Étienne à vélo par exemple.

Le problème, c’est que certains cyclistes ont tendance à confondre réseau Ravel et piste de course, et des promeneurs ou des familles frôlés à grande vitesse ne se sentent plus en sécurité. Pour la conseillère nivelloise, il faudrait rappeler les règles de base et l’utilisation de la sonnette…

Le commissaire divisionnaire Pascal Neyman a précisé, dans sa réponse, que la vitesse est limitée à 30 km/h sur le Ravel, ce qui reste assez élevé. Mais surtout, le code de la route y est d’application et exige d’adapter sa vitesse à l’environnement. Ce que ne font manifestement pas tous les cyclistes…

À présent que la zone de police Nivelles-Genappe dispose d’un service spécifiquement dédié à la prévention, un projet est en cours de réflexion pour mener certaines actions sur le Ravel. Une campagne de sensibilisation des utilisateurs est envisagée, avec de l’affichage mais aussi une présence sur le terrain pour faire passer le message.

Bonjour à toutes et tous.

J'ai l'impression que , comme d'habitude, on ne relève que les quelques cyclistes qui se comportent mal et on oublie la grande majorité de ceux qui se comportent convenablement.

J'emprunte régulièrement ce RAVeL à vélo et je n'ai jamais eu de problème. J'ai une sonnette et (bien entendu) j'adapte ma vitesse (parfois même, je roule au pas).

Mais, en effet, si la Police lance un projet de prévention et de sensibilisation, je suis ok à 200%

Suite à un concours, la Commune de Seneffe confie au bureau Greisch la mission d’ériger une nouvelle passerelle.

Le viaduc d’Arquennes, pont ferroviaire de l’ancienne ligne n°141, fut inauguré en 1854. Démoli lors de la Seconde Guerre Mondiale, il fut remplacé par un pont provisoire Bailey dans les années 90, puis démonté à nouveau. Sa disparition marque aujourd’hui une coupure sur le RAVel de la ligne 141, obligeant les piétons, cyclistes et cavaliers à se mêler à la circulation automobile pour traverser le village.

Réinterpréter le passé pour mieux s’intégrer au présent
Afin de respecter l’ouvrage original et s’intégrer dans ce site remarquable, l’esquisse développée lors du concours traduit une structure contemporaine en treillis-résille métallique, dont les mailles rappellent les caractéristiques de l’ancien pont ferroviaire. Les matières envisagées (structure en acier Corten et platelage en bois exotique) offrent une excellente tenue dans le temps, limitant ainsi les coûts et besoins d’entretien.

La largeur de 4 mètres permet un passage et un croisement aisés des différents utilisateurs de la passerelle.

Le bureau greisch, en collaboration avec la Commune de Seneffe, sera chargée dans les prochains mois de poursuivre la conception de cet ouvrage, afin de valider les choix et de les traduire en plans permettant la construction de l’ouvrage.

Elle verra le jour sur les vestiges de l'ancien viaduc ferroviaire au-dessus de l'ancien canal.



Cela fait de nombreuses années que les habitants d'Arquennes l'attendent avec impatience. La passerelle cyclo-piétonne qui remplacera l'ancien viaduc va enfin pouvoir être concrétisée dans les prochains mois. La commune de Seneffe a en tout cas franchi une étape primordiale ce lundi en faisant valider par le conseil communal le cahier des charges.
Pour mener à bien ce dossier, la commune a reçu un fameux coup de pouce régional. Elle a obtenu un subside en mobilité douce de 100 000 euros, auquel est venue s’adjoindre la prise en charge par le Service Public de Wallonie (SPW) de l'entretien et de la restauration des culées et de la pilée centrale. Coût estimé de l’opération : 200 000 euros. Au final, le montant estimé des travaux à charge de la commune avoisinera les 465 000 euros.

En décembre 2017, le Collège communal a confié au bureau d’études Greisch la mission de concevoir cette nouvelle passerelle métallique. "Afin de respecter l’ouvrage original et s’intégrer dans ce site remarquable, l’esquisse développée lors du concours traduit une structure contemporaine en treillis-résille métallique, dont les mailles rappellent les caractéristiques de l’ancien pont ferroviaire", explique la commune. "Les matières envisagées (structure en acier Corten et platelage en bois exotique) offrent une excellente tenue dans le temps, limitant ainsi les coûts et besoins d’entretien."



La largeur de 4 mètres permettra un passage et un croisement aisés des différents utilisateurs de la passerelle. Le RAVeL de la ligne 141 constitue en effet l’épine dorsale du réseau cyclable seneffois. Très régulièrement utilisé, il relie Seneffe à Nivelles avec un point noir : l’absence de viaduc oblige les piétons, les cyclistes et les cavaliers à se mêler à la circulation automobile pour traverser le village.

La commune de Seneffe désirait depuis plusieurs années fluidifier ce tronçon pour plusieurs raisons. "D'abord pour promouvoir la mobilité douce tout en respectant le cheminement historique de la voie de chemin de fer. Pour créer un point de vue remarquable ouvert sur la perspective offerte par le canal et puis pour conserver un héritage du passé en documentant les multiples constructions/démolitions et les événements qui les ont provoqués."

Il est vrai qu'un pont ferroviaire historique enjambait autrefois le canal à cet endroit. Inauguré en 1854, ce pont voyait passer la ligne de chemin de fer n°141 affectée au transport de marchandises entre les gares de Manage et de Wavre. Il fut toutefois démoli lors de la Seconde Guerre Mondiale par les troupes françaises afin de retarder au maximum l’avancée ennemie. Il ne reste désormais plus qu'à attendre les dernières étapes administratives avant d'entamer les grandes manœuvres.

A la sortie de Baulers en direction de Genappe, la voûte d'un pont s'est détériorée durant l'hiver, le SPW procèdera rapidement aux réparations.

Ce dimanche 21 février, le Bourgmestre a été alerté par un citoyen du danger qu'il avait rencontré sur le RAVeL, à la sortie de Baulers en allant vers Genappe, sous le pont du chemin de Fontaine-l'Evêque.

Contact a été pris sans tarder avec le SPW, gestionnaire des ouvrages d'art du RAVeL.

Ce lundi 22 février, suite à la visite sur place du Chef de District du SPW et d’un représentant du service communal Travaux, les décisions suivantes ont été prises :

- dès ce lundi 22 février, une signalisation conforme est en place.
- l’accès sera fermé lorsque les réparations du SPW se dérouleront, le Bourgmestre ayant pris un arrêté en ce sens.

Le SPW entreprendra un "peignage" du pont afin de faire tomber les briques descellées et prendra les dispositions nécessaires pour le lieu puisse être fréquenté sans danger.

Suite à des dangers rencontrés par certains promeneurs empruntant le RAVeL, à la sortie de Baulers en allant vers Genappe, sous le pont du chemin de Fontaine-l’Évêque, le bourgmestre nivellois a pris contact avec le gestionnaire des ouvrages d’art du RAVeL. Le pont en question sera bientôt réparé et plusieurs décisions ont été prises ce lundi.

Ce dimanche 21 février, le bourgmestre de Nivelles, Pierre Huart, a été alerté par un citoyen du danger qu’il avait rencontré en empruntant le RAVeL, à la sortie de Baulers en allant vers Genappe, sous le pont du chemin de Fontaine-l’Évêque. Ne pouvant que constater ces faits, le bourgmestre aclot a immédiatement pris contact avec le SPW, gestionnaire des ouvrages d’art du RAVeL.

Ce lundi 22 février, suite à la visite sur place du Chef de District du SPW et d’un représentant du service communal Travaux, plusieurs décisions ont été prises. Notamment que depuis ce lundi 22 février, une signalisation conforme est mise en place. L’accès sera également fermé lorsque les réparations du SPW se dérouleront, le bourgmestre ayant pris un arrêté en ce sens. Enfin, le SPW entreprendra un « peignage » du pont afin de faire tomber les briques descellées et prendra les dispositions nécessaires pour que le lieu puisse à nouveau être fréquenté sans danger.

Nous saluons la belle initiative de la  #VilledeGenappe qui a placé une nouvelle borne électrique et du matériel d'entretien vélo sur la Ligne 141 au niveau de son ancienne gare, Chaussée de Charleroi.
Une seconde est prévue d'ici peu sur la même ligne près de l'ancienne gare de Bousval.

Publié le 02-08-21 à 17h54 - Mis à jour le 02-08-21 à 17h54

Le Service public de Wallonie annonce des travaux entre Genappe et Court-Saint-Etienne.

La Région wallonne va améliorer le parcours Ravel qui relie Genappe à Court-Saint-Etienne, et qui est en réalité aujourd’hui un “pré Ravel”. Différents aménagements sont annoncés dont la pose d’une couche d’asphalte de 5 cm d’épaisseur sur l’ensemble du tronçon. Mais il est également prévu de remettre aux normes l’ensemble des carrefours, c’est-à-dire des endroits où les voiries croisent cette piste tracée sur l’ancienne ligne du chemin de fer.

“Il a été décidé de préserver le petit patrimoine ferroviaire situé sur le réseau communal afin de préserver la mémoire des lieux”, précise la Ville, à propos de chemin de fer.

Autre travail important qui va être réalisé, un dévoiement d’environ 150 mètres à hauteur du centre sportif de Bousval permettra d’aménager une zone de loisir dans le prolongement de la salle Gossiaux. Ce sera fait dans le cadre des travaux qui concernent le parking de la salle.

On profitera aussi du chantier pour mettre en place ou remplacer la signalisation à destination des usagers de ce Ravel ainsi le petit mobilier urbain.

Le début de ce chantier est annoncé pour la semaine prochaine, et plus précisément le 9 août. Évidemment, en pleines vacances d’été alors que le parcours sert de lieu de promenade à beaucoup de monde, ce n’est pas idéal. Mais le Ravel est de toute façon utilisé en toute saison…

“Afin de ne pas interdire l’accès sur toute la longueur du chantier, qui est d’environ 10 km, celui-ci sera divisé en quatre tronçons qui seront exécutés les uns après les autres, précise la Ville de Genappe. Chacune de ces sections sera fermée pour une durée limitée avec une déviation locale mise en place pour les usagers du Raval. Le chantier démarrera le 9 août par le tronçon commis entre la rue de Noirhat et la rue du Grand Arbre, et ce pour une dure d’un mois.”

Le chantier global est prévu pour 70 jours ouvrables (plus ou moins cinq mois, donc) et a été attribué pour un montant de 625 000 euros.

Le collège communal de Genappe veut aménager les abords du Ravel à hauteur de la salle Gossiaux.

Ce mardi 16 novembre, la Ville de Genappe et l’asbl Adalia s’associent, le temps d’une journée, pour planter une haie en bordure du Ravel à Bousval.

L’ASBL Adalia est une association qui œuvre aux côtés de la Wallonie pour limiter l’utilisation des pesticides et transiter vers un mode de gestion écologique des espaces verts. Elle accompagne également les gestionnaires d’espaces verts publics vers des modes d’entretien respectueux de l’environnement. Aujourd’hui, main dans la main avec la Ville de Genappe, une haie sera plantée en bordure du Ravel à Bousval.

L’objectif est d’enrichir la biodiversité sur le territoire. Il s’agit de planter une haie diversifiée à objectif « biodiversité ». Le choix s’est porté sur 8 espèces différentes : aubépine à 30 %, sureau noir à 10 %, bourdaine à 10 %, pommier sauvage à 10 %, sorbier des oiseleurs à 10 %, églantier à 10 %, prunellier à 10 % et viorne obier pour les 10 derniers pourcents.

« Nous avons choisi des espèces à la fois intéressantes pour la floraison (et les insectes butineurs) et la production de baies (fruits pour l’arrière-saison). Puisqu’il s’agit d’une haie vive plus naturelle, elle sera taillée une seule fois par an », explique Gérard Couronné, le bourgmestre.

Pour rendre la plantation de cette haie possible, un travail préliminaire sera réalisé par le service travaux afin de l’accueillir au mieux : mise à nu de la zone, fauchage des plantations, maintien des essences intéressantes via un ruban blanc et rouge. Les citoyens seront informés via les différents canaux de communication de la Ville et verront apparaître des panneaux indiquant « travaux en cours ».

La matinée du 16 novembre sera consacrée à la formation des agents à l’Hôtel de Ville et le travail sera effectué sur terrain l’après-midi (intervention d’une vingtaine d’agents) entre la Dyle et le Ravel à Bousval.

Le Service public de Wallonie demande à la commune de Genappe de déplanter une partie de la haie qu’elle a installée pas plus tard qu’en novembre dernier le long de l’ancienne ligne 141. Une haie de 250 plants de différentes espèces, dont des aubépines et des prunelliers, plantée sur les conseils de Natagora. Mais voilà : certaines essences comportent des épines, qui risquent de crever les pneus des cyclistes. Il faut donc les enlever.

Comme l’expliquent nos confrères de l’Avenir, le SPW est propriétaire par emphytéose de l’assiette de l’ancienne ligne 141 et gestionnaire de la piste cyclable et estime que l’aubépine n’est pas appropriée le long d’un Ravel. Son chef de district a déjà adressé plusieurs courriels à l’administration communale pour lui demander d’enlever les arbustes problématiques. L’échevin de l’environnement s’étonne de l’insistance du SPW. Il a répondu que cet arrachage ne faisait pas partie des priorités de la commune. Il faut dire qu’il faut encore un peu de temps avant que les arbustes ne représentent une vraie nuisance pour les cyclistes.

Rappelons que l’entretien des abords du Ravel est à charge des communes qu’il traverse.

La commune a pu bénéficier de subsides régionaux pour réaliser ce projet.

Après des années d’attente, les habitants d’Arquennes pourront bientôt bénéficier de la nouvelle passerelle cyclo-piétonne qui devrait prendre la place de l’ancien viaduc à la fin de cette année.

"Les travaux vont débuter cette année. La passerelle est prévue sur l’ancien chemin de fer et, plus précisément, sur la ligne 141", explique Eric Delannoy, échevin des travaux à Seneffe. "Si tout va bien, la passerelle sera faite pour la fin de l’année".

Large de 4 mètres, la passerelle permettra un passage et un croisement aisés des acteurs de la mobilité douce tels que les piétons ou les cyclistes. Les utilisateurs pourront donc emprunter la ligne 141 du RAVeL et se rendre à Nivelles sans devoir à nouveau se mêler à la circulation automobile pour traverser le village d’Arquennes. "La passerelle permettra de passer à pieds, à vélo ou à cheval pour les plus téméraires", plaisante Eric Delaunnoy.

Soutenue par la Région Wallonne et le Service Public de Wallonie (SPW), la Ville bénéficiera de 300.000€ de subsides pour réaliser son projet. La passerelle est ainsi financée à hauteur de 100.000€ par un subside alloué à la mobilité douce pris en charge par la Région Wallonne. De son côté, SPW contribue au projet à hauteur de 200.000€. Ceux-ci permettront de restaurer les culées – les parties situées sur la rive, permettant de soutenir le tablier du pont sur lequel passe la circulation – et la pilée centrale.

La passerelle cyclo-piétonne permettra aux utilisateurs d’avoir un point de vue remarquable ouvert sur la perspective offerte par le canal. L’ouvrage aura une structure contemporaine en treillis-résille métallique dont les mailles rappelleront les caractéristiques de l’ancien pont ferroviaire. L’acier Corten au ton orangé et le bois exotique envisagés pour réaliser la passerelle présentent une excellente tenue dans le temps limitant ainsi les coûts et l’entretien.

Ceux-ci dureront jusqu'au mois d'août prochain. Ensuite, le placement de la passerelle pourra être entrepris.



Les travaux de la passerelle d'Arquennes ont officiellement débuté en cette fin du mois de mars. Une fois en fonction, cette passerelle permettra aux piétons et aux amateurs de vélo d'emprunter une nouvelle piste cyclo-piétonne qui reliera Seneffe à Nivelles. Jusqu'à présent, les cyclistes et promeneurs qui empruntaient la ligne 141 du RAVeL pour relier les deux communes devaient se mêler à la circulation pour traverser le village suite à l'absence de passerelle.

Désormais, la première étape des travaux a pu commencer. Celle-ci consiste en la restauration des culées (les parties situées sur la rive, permettant de soutenir le tablier du pont sur lequel passe la circulation) et de la pilée centrale (le pilier qui supporte le poids du tablier). Cette première partie des travaux prendra cours jusqu'au mois d'août. A ce moment-là, le placement de la passerelle pourra être entrepris.

"Si tout va bien, la passerelle sera faite pour la fin de l’année", expliquait Eric Delannoy, l'échevin des Travaux. ""La passerelle permettra de passer à pieds, à vélo ou à cheval pour les plus téméraires".

Large de 4 mètres, la passerelle permettra un passage et un croisement aisés des acteurs de la mobilité douce tels que les piétons ou les cyclistes. Elle permettra également à ses utilisateurs d'avoir un point de vue remarquable sur le canal. L'ouvrage se veut à la fois contemporain et un rappel du passé. Effectivement, la structure sera en treillis-résille métallique dont les mailles rappelleront l'esthétique du pont ferroviaire qui s'y trouvait. La structure sera réalisée en acier Corten qui présente un ton orangé et du bois exotique pourrait être utilisé pour la passerelle car il permettrait une longue de tenue dans le temps et un faible coût d'entretien.

Pour rappel, le projet est en partie financé par la Région Wallonne et le Service Public de Wallonie (SPW) desquels la commune pourra bénéficier de 300.000€ de subsides afin de réaliser son projet. La passerelle est ainsi financée à hauteur de 100.000€ par un subside alloué à la mobilité douce pris en charge par la Région Wallonne. Les travaux de restauration des culées et de la pilée centrale sont financés à hauteur de 200.000€ par le SPW.